Les citations sur les hommes.

Les hommes (moralement parlant) ressemblent aux poires : quand ils s'amollissent, c'est un symptôme de faisandage.

Les hommes sans cœur sont comme les homards, ils ne peuvent rougir qu'après leur mort.

On n'a jamais froid dans une soirée, parce qu'on rencontre des hommes qui vous font suer.

Les hommes sont souvent très exigeants, et dans quelques circonstances très dangereux ; les femmes font très bien de se tenir sur leurs gardes.

Il y a chez les grands hommes quelque chose d'altier et de revêche qui décourage la familiarité.

Les hommes, comme les animaux, naissent bons ou méchants !

Les hommes se gouvernent par leurs impressions ou leurs intérêts du moment.

Il n'y a que deux sortes d'hommes : les justes qui se croient pécheurs, et les pécheurs qui se croient justes.

On doit toujours quitter les hommes avant qu'ils vous quittent.

Ne l'oubliez pas, les enfants se piquent d'être des hommes plus tôt qu'on ne le croit ; et s'ils se montrent si impatients de porter culottes, ce n'est point à cause de la coupe de ce vêtement, ni pour leur commodité, c'est parce que le jour où ils portent culottes il leur semble qu'ils deviennent des hommes.

Les grands hommes ne sont plus dans le monde, ils sont tous dans l'histoire.

Les amourettes des hommes d'affaires sont courtes, ils ne s'attardent pas à ces bagatelles.

Rassembler les hommes c'est les échauffer et les rendre spiritueux comme le raisin.

Les hommes ont tous leurs défauts, le plus estimable est celui qui en a le moins.

Il en est des hommes comme de la mer, à qui l'on donne des noms divers, et qui n'est toujours en définitive que de l'eau salée.

Les hommes se connaîtraient mieux entre eux si l'un ne voulait pas toujours s'égaler à l'autre.

Le cannibale qui se nourrit d'hommes-sandwichs est un croque-monsieurs.

Les hommes sont tellement conditionnés par leur enfance qu'en fait, les psychiatres ne sont que des pédiatres rétroactifs.

Les hommes sont si entendus dans l'air de faire la papillote ! L'enveloppe est brillante, argentée, dorée ; on y lit l'un de ces mots pompeux qui font battre le cœur : Dévouement, enthousiasme, noble ambition… Ouvrez : La dragée est un pauvre petit calcul bien plat, bien vulgaire, et l'on est fort heureux quand l'amande n'est pas amère.

Les hommes se ressemblent tous, ils prennent leur pensée pour la mesure des choses.

Les hommes souvent s'imputent, par vanité, le peu de défauts qu'ils n'ont pas.

Les hommes pour la plupart ignorent leurs vices, si convaincus d'être parfaits.

Les hommes semblent être des ballons que la main du sort pousse sans cesse et d'une manière irrésistible : nous faisons deux ou trois bonds, les uns sur du marbre, les autres sur du fumier, et puis nous disparaissons à jamais. Tout bien calculé, voilà notre lot.

Les hommes se feraient un paradis sur la terre s'ils travaillaient tous à gagner le paradis.

Les hommes se montrent mille fois plus cruels et plus bêtes que les bêtes féroces.

Les hommes passeront tous, et seront tous consommés par le temps.

Les hommes ont la mémoire de l'esprit ; les femmes ont la mémoire du cœur.

Les hommes sont tous imparfaits, et le plus accompli est celui qui a le moins de défaut.

Les hommes sont comme les nèfles, ils mûrissent sur la paille.

Les hommes sont comme les biens de la terre : Mieux on les connaît, moins on les estime.

Les hommes sont tous oiseaux de proie, ils ont bec et ongles.

Les hommes tiennent le monde. Les mères tiennent l'éternel qui tient le monde et les hommes.

J'ai toujours pensé qu'il fallait trois hommes pour en faire un, et j'ai partagé mon cœur en trois.

Les hommes d'autrefois ne valaient pas mieux que ceux d’aujourd’hui, mais la sphère du raisonnement s'est agrandie.

Les grands hommes sont-ils plus nombreux qu'autrefois, ou les fait-on à meilleur compte ?

Ce n'est pas la vie, ce sont les hommes qui nous rendent sceptiques par leur hypocrisie, qui font qu'en touchant on doute, qu'en ayant on frémit, qu'en méritant on désespère.

Certains hommes, comme les moutons, ont si peu l'air de regretter l'esprit qu'ils n'ont pas !

Tels hommes voyagent ensemble, et se parlent peu ou point sur la route. Quoique du même pays, ils ne s'entendent point et ne sont point de la même nature : les uns sont nés blancs, les autres noirs.

La terre entière est le mausolée des hommes illustres.

Les hommes, comme les oiseaux, se laissent toujours prendre dans les mêmes filets.