Louis-Auguste Commerson, dit Commerson.

Sa biographie :

Jean-Louis-Auguste Commerson Auteur dramatique, écrivain et journaliste français né le 29 mars 1802 à Paris, Jean-Louis-Auguste Commerson est mort le 24 juillet 1879 dans sa vie natale. Spécialiste du calembour et du canard journalistique, il est l'auteur de nombreux ouvrages humoristiques, dont Les pensées d'un emballeur (1851), Un million de bouffonneries (1854), Le Petit Tintamarre (1857) La petite encyclopédie bouffonne (1860) et Un million de chiquenaudes et menus propos tirés de la Gazette de Merluchon (1880). Découvrez sa biographie complète sur Wikipédia.

Les 74 citations de Jean-Louis-Auguste Commerson :

Le neveu qui vient d'hériter de son oncle a le cœur navré de joie.

Jean-Louis-Auguste Commerson - La petite encyclopédie bouffonne (1860)

J'aimerais mieux être général à l'armée qu'alarmé en général.

Jean-Louis-Auguste Commerson - La petite encyclopédie bouffonne (1860)

La coquetterie est un apéritif de l'amour, c'est l'absinthe de l'amour.

Jean-Louis-Auguste Commerson - La petite encyclopédie bouffonne (1860)

S'il n'y avait pas de vice on ne distinguerait pas la vertu. La vertu, pour se faire apprécier, a donc besoin du vice. Avouez que c'est peu honorable pour elle !

Jean-Louis-Auguste Commerson - La petite encyclopédie bouffonne (1860)

En hiver il vaut mieux se couvrir de flanelle que de honte.

Jean-Louis-Auguste Commerson - La petite encyclopédie bouffonne (1860)

L'intrigue est la guenille de l'ambition.

Jean-Louis-Auguste Commerson - La petite encyclopédie bouffonne (1860)

J'aime mieux les côtelettes que les femmes en papillotes.

Jean-Louis-Auguste Commerson - La petite encyclopédie bouffonne (1860)

L'amour est un théâtre où les femmes distribuent les contremarques.

Jean-Louis-Auguste Commerson - La petite encyclopédie bouffonne (1860)

Un éclat de rire est quelquefois aussi malsain qu'un éclat d'obus.

Jean-Louis-Auguste Commerson - La petite encyclopédie bouffonne (1860)

La réalité est la limonade purgative du sentiment.

Jean-Louis-Auguste Commerson - La petite encyclopédie bouffonne (1860)

Aujourd'hui tout le monde pose : L'homme propose, la femme dispose, l'industrie expose, le commerce dépose, les consciences composent, et les grands hommes reposent.

Jean-Louis-Auguste Commerson - La petite encyclopédie bouffonne (1860)

Je n'aime ni les éditions ni les femmes contrefaites.

Jean-Louis-Auguste Commerson - La petite encyclopédie bouffonne (1860)

L'existence est un gâteau qu'on dévore à vingt ans, et qu'on émiette à soixante.

Jean-Louis-Auguste Commerson - La petite encyclopédie bouffonne (1860)

Faire un retour sur soi-même, c'est se gargariser l'âme.

Jean-Louis-Auguste Commerson - La petite encyclopédie bouffonne (1860)

La fraîcheur chez une femme est une coupe enivrante que l'on aime souvent à approcher de ses lèvres.

Jean-Louis-Auguste Commerson - La petite encyclopédie bouffonne (1860)

Par politesse il y a des gens qu'on reconduit à la porte pour être sûr qu'ils s'en vont.

Jean-Louis-Auguste Commerson - La petite encyclopédie bouffonne (1860)

Les remords sont la charrue du cœur puisqu'on peut avoir le cœur labouré par les remords.

Jean-Louis-Auguste Commerson - La petite encyclopédie bouffonne (1860)

On se contente plutôt de tout que de peu.

Jean-Louis-Auguste Commerson - La petite encyclopédie bouffonne (1860)

Le cœur humain possède une foule de mots qu'on ne trouve dans aucun dictionnaire.

Jean-Louis-Auguste Commerson - La petite encyclopédie bouffonne (1860)

Les gens sans idées ont le plus d'idées d'eux-mêmes.

Jean-Louis-Auguste Commerson - La petite encyclopédie bouffonne (1860)

Le passé, c'est la lampe qui éclaire l'avenir.

Jean-Louis-Auguste Commerson - La petite encyclopédie bouffonne (1860)

Le sourire est l'arc-en-ciel du visage.

Jean-Louis-Auguste Commerson - La petite encyclopédie bouffonne (1860)

Il est dangereux de parler de trop près aux moutons qui ont la laine forte.

Jean-Louis-Auguste Commerson - La petite encyclopédie bouffonne (1860)

J'ai un fond d'épicerie qui me fait vivre, et un fond de chagrin qui me fait mourir.

Jean-Louis-Auguste Commerson - La petite encyclopédie bouffonne (1860)

Quand je passe près d'un corbillard, j'ai toujours peur que les chevaux ne prennent le mors aux dents.

Jean-Louis-Auguste Commerson - La petite encyclopédie bouffonne (1860)

Sans une vie, il y a moins de chemins de fer que de chemins à faire.

Jean-Louis-Auguste Commerson - La petite encyclopédie bouffonne (1860)

Il faut être sans cesse aux barricades contre ses passions, et toujours au congrès de la paix avec sa conscience.

Jean-Louis-Auguste Commerson - La petite encyclopédie bouffonne (1860)

L'amour est un roman à qui les femmes servent d'éditeur.

Jean-Louis-Auguste Commerson - La petite encyclopédie bouffonne (1860)

Les femmes se méfient trop des hommes en général, et pas assez en particulier.

Jean-Louis-Auguste Commerson - La petite encyclopédie bouffonne (1860)

J'aime mieux une cruche qui soit bonne qu'une bonne qui soit cruche.

Jean-Louis-Auguste Commerson - La petite encyclopédie bouffonne (1860)