Les citations sur le mariage.

Le mariage n'est souvent qu'un échange de grognements réciproques durant le jour et de ronflements pendant la nuit.

Le mariage est une société avec son gérant responsable, et dont la femme est l'actionnaire.

Le mariage est un lien que l'espoir embellit, que le bonheur conserve, et que le malheur fortifie.

S'il est vrai que dans un mariage heureux on y trouve le ciel, il est également certain qu'une union mal assortie est un enfer.

Les gens s'imaginent que la première période du mariage est la plus heureuse, mais ils se trompent ; je le sais bien et ma femme aussi. Je suis aujourd'hui mille fois plus heureux avec elle et je l'aime mille fois davantage que je ne le faisais il y a dix ans au moment de mon mariage, et je sais et je sens que, dans dix autres années, je l'estimerai plus hautement encore, car l'amour véritable tend toujours à s'accroître et, semblable à l'amour de Dieu, il n'a ni tombeau, ni limites. Si l'on venait me dire à l'heure qu'il est : Vous êtes libre, allez dans le monde et choisissez une autre femme, je viendrais aux pieds de la mienne lui demander de m'accepter de nouveau.

Le mariage est une institution arriérée, les unions libres sont le mot de l'avenir.

J'adore les femmes, mais j'abhorre le mariage.

Quand j'étais dans mon jeune âge, bien doux me semblait l'amour ; oui, mais quant au mariage, faut y songer plus d'un jour.

Je suis un homme d'aventures, un homme né pour être toujours debout et prêt à partir. Le mariage n'a pas été inventé pour les coureurs de hasards.

Le mariage, c'est le plaisir délicat qu'on partage dans la tendresse et dans l'estime réciproque.

Pour réussir un mariage, il faut continuer d'être amants quand on est époux.

Le mariage est le passage de l'éphémère à l'effet-mémère.

Le mariage, à peine tu as dit oui, que déjà tu commences à le regretter.

Le mariage est un jardin où il pousse beaucoup d'épines et peu de fleurs.

Le mariage est comme un labyrinthe où l'on rencontre à chaque instant de nouveaux embarras, une fois sorti, on est rarement tenté d'y rentrer.

Si les époux restaient amants, il y aurait moins de mariages malheureux.

Ma liberté m'est chère, je me soucie du mariage comme d'une noisette vide !

Le mariage est un saut périlleux : Il faut se jeter dans le gouffre tête baissée et les yeux fermés.

Bien des mariages, mes amis, ont commencé comme l'aurore et sont tombés comme un manteau de fourrures. Pourquoi cela ? Les époux ont négligé d'être agréables les uns aux autres après la noce, comme ils l'étaient avant ; cherchez à vous plaire réciproquement ; mais, en cela, ayez Dieu devant les yeux.

Le mariage est chose sérieuse. Avant d'en contracter un, assurez-vous que votre cœur en a besoin pour être heureux, et qu'il a définitivement rompu avec ce qui faisait son bonheur autrefois.

Le mariage est une solitude éternelle.

Ce que je cherche dans le mariage, c'est une compagne qui embellisse ma vie d'une affection constante, et qui sème des fleurs sur le chemin, qui tous les jours me semble plus aride.

On ne se connaît jamais qu'après un an de mariage.

Dans un mariage, quand l'un apporte l'amour et l'autre l'argent, à la rigueur chacun apporte quelque chose ; il y a pire.

Que de mariages de moins, s'il fallait compter sur les mariés pour nous en donner le goût !

Dans un mariage de convenance, les deux notaires remplacent les amoureux.

Heureusement, il n'est pas défendu à un mariage commencé par intérêt de bifurquer sur la route de l'amour.

Dans le mariage la femme attend toujours l'occasion de prendre l'autorité que la légèreté du mari lui donne.

Les fiançailles : le temps où la dissimulation joue ses plus belles parties.

Le mariage tire à lui : l'ami marié n'est plus tout à fait un ami ; l'enfant marié n'est plus tout à fait un enfant.

On a beaucoup déclamé contre le mariage, mais ce sont les mauvaises mœurs et les grandes sociétés qui l'ont corrompu. Tout ce qui est dans l'ordre ne peut être un mal. Il y a des chaînes qui valent mieux que la liberté ; et le lien du sentiment formé par la raison, ne peut être un poids difficile à porter, surtout pour les âmes honnêtes.

Le mariage non-religieux est une loterie où il n'y a guère que des billets perdants.

Le mariage est une loterie qui ne tente que les imaginations optimistes, les audaces présomptueuses, les espérances irréfléchies, car il y a trente fois plus de manières d'être malheureux que d'être heureux.

Le mariage est toujours une témérité, mais peut devenir un acte de foi.

Le mariage est une loterie, j'y ai joué, et j'ai eu un billet noir !

Le mariage est un labyrinthe d'où ne sort pas qui veut.

Les mariages seraient toujours heureux si le ciel avait nécessairement pourvu chaque homme ici-bas de la seule femme qui puisse sympathiser avec sa nature ; si les êtres qui se conviennent se rencontraient toujours sur la route de la vie, et si, dans l'ordonnance de ce vaste univers, ils se rapprochaient naturellement l'un de l'autre comme les corps soumis à la loi irrésistible de l'attraction.

Le mariage est une institution autour de laquelle viennent s'appuyer mutuellement deux existences, c'est l'entrelacement de deux destinées, c'est l'enchaînement harmonique de deux êtres qui se réfugient sous le même toit, qui respirent le même air, qui se nourrissent des mêmes espérances.

Le mariage est une convention sociale par laquelle deux individus de sexe différent mettent en commun les plaisirs aussi bien que les douleurs inséparables de leur existence. Ils s'allient l'un à l'autre pour mieux résister à cet inexorable destin qui semble poursuivre l'humanité sur la route pénible de la vie.

Il est des êtres dont le cœur est assez dépravé pour ne trouver quelques attraits qu'aux plaisirs défendus, et pour penser que le mariage ou un attachement avoué par les lois humaines et divines n'est qu'un ridicule.