Les citations sur se moquer

La moquerie est la marque d'un petit esprit et d'une méchante inclination.

Se moquer des infirmités de ses semblables, c'est cruauté ; frapper sur leurs vices, c'est justice : on peut se corriger d'un vice, on ne guérit pas d’une infirmité.

C'est facile de se moquer des honneurs quand on est jeune : On a l'amour !

Il est ennuyeux d'être moquable et reprochable, car la vérité pénible l'est deux fois plus que l'erreur.

On n'est jamais aimable avec un caractère moqueur.

Mieux vaut être loué du petit nombre des sages que moqué du grand nombre des sots.

Le sot fait consister son esprit à se moquer de ce qu'il ne comprend pas, et l'homme sensé à ne se moquer que de ce qu'il juge réellement ridicule.

C'est lâche de trop se préoccuper de l'opinion, c'est fou de se boucher les oreilles pour ne pas l'entendre ; se moquer d'elle en faisant son devoir.

Ce que nous exagérons, comme plus tard nos enfants s'en moquent !

L'habitude de la moquerie dessèche le cœur, on ne peut aimer ce qui paraît ridicule.

On commence par profiter de la faiblesse d'un homme trop bon, quitte à s'en moquer après.

Souvent l'homme supérieur se moque de ceux qui le complimentent, et complimente quelquefois ceux dont il se moque au fond du cœur

Un bel esprit ignorant ne manque guère de se moquer de ce qu'il ignore.

Les hommes fins se moquent des niais, sans pouvoir toujours éviter d'en être trompés.

Heureux qui jouit agréablement du monde ! plus heureux qui s'en moque et qui le fuit !

Si l'on se moque de votre physique, riez-en le premier.

On est toujours assez lié avec un homme pour se moquer avec lui d'un autre.

Face au miroir, il pria son visage de cesser de se moquer de lui.

Tout en se moquant de la bonhomie, on n'est rien moins que fâché de la trouver sur son passage.

Si on se moque de mon vice, le rire d'autrui, loin de m'en tirer, m'y enfonce.

Les moqueurs sont toujours les mêmes, les arbres leur font obstacle pour voir la forêt.

Se moquer des philosophes, c'est se croire plus philosophe qu'eux !

Les sottises d'autrui doivent être plutôt une instruction qu'un sujet de se moquer de ceux qui les font.

Les choses de quoi on se moque, on les estime sans prix.