L'usage des alcools forts est très général, et surtout parmi les hommes robustes, dont les organes, grossiers ont besoin de sensations un peu vives. D’ailleurs, elles procurent, en animant la circulation du sang, une force, une gaieté, une espèce de délire, qui plaisent à l'homme ; il semble même que les hommes ne cherchent qu'à s'oublier ; ils craignent la mort, mais la vie les ennuie ; ils voudraient en quelque sorte exister sans le sentir.