Les citations sur l'union.
Les 30 citations et proverbes union.
Au commencement des siècles l'épouse et l'époux venaient ensemble au monde et ne constituaient qu'une seule créature animée. Dans un accès de colère, Jupiter sépara en deux un tout si harmonieux et si parfait. Depuis ce temps chacun cherche sa moitié sur la terre, et presque toujours l'union des sexes est livrée aux chances du hasard.
S'il est vrai que dans un mariage heureux on y trouve le ciel, il est également certain qu'une union mal assortie est un enfer.
Le mariage est une institution arriérée, les unions libres sont le mot de l'avenir.
L'union entre les hommes n'est fondée que sur une mutuelle tromperie.
La paix entre dans le cœur rien qu'à voir un vieux couple vénérable. La paix est sur leur front, une sagesse calme sur leurs lèvres, et dans leurs regards on lit l'amour et l'union.
Pour garder un homme, pour l'enchaîner, pour s'assurer éternellement de lui, il n'y a pas deux moyens : il faut l'emmerder. Les unions heureuses sont à ce prix. Les bonnes filles qui croient qu'on retient un homme en étant gentille, en fermant les yeux sur ses frasques, en ayant toujours le sourire, sont plaquées au bout de six mois.
Deux hommes valent mieux qu'un, et quatre mieux que deux. Confondons-nous donc, mêlons-nous, unissons-nous ; l'union fait la force des faibles et la puissance des forts ; elle étouffe l'orgueil individuel et enfante la fraternité ; quand on ne se compte plus, on s'aime mieux.
Être copain, c'est se joindre par une union fraternelle avec un camarade.
Non ! ce n'est point la chair, c'est le cœur et l'âme, qui scellent l'union de l'homme avec la femme.
Les unions parjures remplissent les maisons d'amertume.
L'union fait la force, mais la force ne fait pas l'union, surtout si elle est centrifuge.
L'amitié est un sentiment qui demande de l'énergie dans l'âme. C'est une union sainte et presque religieuse, qui par une espèce de culte consacre tout entier l'ami à son ami.
Le libertinage est le désir, l'amour de l'union sexuelle.
Les époux parcourent une route ardue : l'union les soutient, la discorde les fait tomber.
Frères et sœurs, vivez dans la plus parfaite union, si vous voulez voir fleurir votre maison ; la discorde détruit, anéantit tout. D'autres possèdent ce qui te manque, mais ils manquent de ce que tu as ; c'est du besoin que naquit la société.
L'union des familles semble avoir pour base un pacte secret et tacite que l'on ne peut rompre sans qu'il en résulte une sorte de désorganisation dans ce qui doit être.
Je ne suis pas marié et je ne me marierai jamais ! Il est des unions libres aussi sacrées, des unions aussi indissolubles que le mariage.
Enfants, si vous avez des camarades, promettez-vous les uns aux autres de vous entraider lorsque vous serez plus grands. Aimez-vous : il est si doux de s'aimer ! vivez unis : l'union fait la force.
Pour être en parfaite union avec quelqu'un, il ne suffit pas de s'aimer de cœur, il faut encore s'accorder d'intelligence. La dissidence des esprits soulève les passions, les passions réveillent l'égoïsme, et quand l'égoïsme est réveillé, adieu l'amour !
Il y a une certaine union d'âmes qui produit bientôt l'intimité.
Le rapport de caractère et d'humeur, la confiance, l'amitié et l'estime sont la vie de l'union conjugale, parce qu'ils ont leur principe dans la similitude de tempérament, et ils déterminent une volonté et des goûts semblables.
Il y a deux sortes d'unions qui durent : celle où l'on ne s'entend pas, bien qu'on s'aime ; celle où l'on s'entend, bien qu'on ne s'aime pas, et enfin peut-être, aussi, une troisième, mais n'en parlons pas.
L'amitié, cette douce union des cœurs, ne peut être véritable et solide, que quand elle a pour fondement l'honneur et la vertu. La vertu qui attache, est une chaîne que rien ne peut rompre. Faites-vous donc une maxime inviolable de ne choisir pour amis que des gens de bien, car il n'y a point d'autres vrais amis, et ces amis précieux ne sont que pour ceux qui leur ressemblent.
Entre le berceau et la tombe, nous traçons un trait d'union : notre vie.
L'union est belle quand elle est le fruit de l'estime, de la sympathie et de l'amour.
La cérémonie du mariage est le trait d'union entre l'homme et la femme, le lit est la parenthèse.
Le mariage doit être l'union parfaite et sacrée de deux cœurs, union si rarement réalisée ou même désirée ; à défaut de ce caractère, la vie reste incomplète et le mariage, sinon un péché, du moins une grande erreur.
Les charmes de l'union des cœurs se joignent pour les amoureux à ceux de l'innocence : nulle crainte, nulle honte ne trouble leur félicité ; au sein des vrais plaisirs de l'amour, ils peuvent parler de la vertu sans rougir.
Lorsque l'union des âmes a été parfaite, toute atteinte à ce beau idéal du sentiment est mortelle. Là où des scélérats se raccommodent après des coups de poignard, les amoureux se brouillent irrévocablement pour un regard, pour un mot. Dans ce souvenir de la quasi-perfection de la vie du cœur se trouve le secret de séparations souvent inexplicables. On peut vivre avec une défiance au cœur, alors que le passé n'offre pas le tableau d'une affection pure et sans nuages ; mais pour deux êtres autrefois parfaitement unis, la vie, quand le regard, la parole, exigent des précautions, devient insupportable.
L'union de l'homme et de la femme est une œuvre divine.