Fredrika Bremer.

Sa biographie :

Fredrika Bremer Romancière, poétesse et féministe suédoise née le 17 août 1801 à Åbo en Finlande, Fredrika Bremer est décédée le 31 décembre 1865 dans son château d’Årsta près de Stockholm à l'âge de 64 ans. Bremer est surtout connue pour son influence en Suède dans les débats de société sur la question du droit des femmes. Elle obtient en 1862 le droit de vote des femmes pour les élections municipales. Découvrez sa biographie complète sur Wikipédia.

Les 50 citations de Fredrika Bremer :

La vie porte plus souvent sa robe de tous les jours que ses habits de fête.

Fredrika Bremer - Les voisins (1845)

Il est beau de pouvoir faire le bonheur de quelqu'un sur la terre.

Fredrika Bremer - Les voisins (1845)

Parler raison avec un enfant, c'est s'enrouer pour rien !

Fredrika Bremer - Les voisins (1845)

La honte impunie appelle plus de honte.

Fredrika Bremer - Les voisins (1845)

Le sein de la mère est le berceau de son fils, ses genoux sont sa chaise, ses bras son monde, et une mère environne son fils d'un amour infini.

Fredrika Bremer - Les voisins (1845)

Une autre fois est un fripon, je déteste une autre fois !

Fredrika Bremer - Les voisins (1845)

Mes fils, soyez véritablement des hommes et de bons pères de famille. Conduisez-vous de manière à ce que vos épouses puissent vous estimer et vous aimer.

Fredrika Bremer - Les voisins (1845)

Souvenez-vous, mes filles, de ce qu'on entend par une femme mariée : il faut que son mari puisse compter sur elle dans sa maison ; c'est à elle qu'il doit confier la clef de son cœur et le cadenas de son garde-manger ; son honneur et son ménage, son bien-être, sont entre les mains de sa femme, songez-y.

Fredrika Bremer - Les voisins (1845)

Provisions amassées le matin, c'est provisions pour le soir, ne l'oubliez pas.

Fredrika Bremer - Les voisins (1845)

Celui qu'on ne trouve pas dehors, on le trouve chez lui.

Fredrika Bremer - Les voisins (1845)

Ne croisez pas les bras et ne restez pas à rien faire. La paresse est l'oreiller du démon.

Fredrika Bremer - Les voisins (1845)

Une motte de terre insignifiante fait parfois verser une grande charge.

Fredrika Bremer - Les voisins (1845)

Un petit nuage peut cacher le soleil et la lune.

Fredrika Bremer - Les voisins (1845)

J'aime les beaux yeux qui ont une expression parlante et pleine d'âme.

Fredrika Bremer - Les voisins (1845)

Morigène ta femme, sinon elle te morigénera.

Fredrika Bremer - Les voisins (1845)

J'aime une femme qui sait s'habiller comme il faut, c'est une preuve d'esprit et de goût.

Fredrika Bremer - Les voisins (1845)

On peut être bien dehors, mais on est encore mieux chez soi.

Fredrika Bremer - Les voisins (1845)

On oppose l'une à l'autre la jeunesse et la vieillesse comme la figure de la partie légère et de la partie pesante de ce jour qu'on appelle la vie. Mais tous les moments du jour, comme tous les âges, n'ont-ils pas une jeunesse, des jouissances qui leur sont propres, pourvu que l'on sache rester dans leur esprit ?

Fredrika Bremer - Le foyer domestique (1862)

On ne doit jamais prendre sans permission ce qui ne nous appartient pas.

Fredrika Bremer - Les voisins (1845)

On est souvent trop prompt dans nos jugements, on juge autrui sur notre première impression.

Fredrika Bremer - Les voisins (1845)

Heureux celui dont l'extérieur est séduisant ! on est bienveillant pour lui dès qu'il se montre, il lui est facile d'être aimable et aimé.

Fredrika Bremer - Le foyer domestique (1862)

Il est fort difficile de juger un homme, même après une longue connaissance, et c'est entièrement impossible après une visite. En outre, les hommes montrent, suivant les circonstances, des côtés différents.

Fredrika Bremer - Les voisins (1845)

Les enfants ! quel univers de plaisirs et de déplaisirs ils apportent dans une maison ! Avec eux, tout n'est pas, en vérité, couleur de rose comme leurs joues.

Fredrika Bremer - Le foyer domestique (1862)

Il faut toujours se proposer une idée, un but, même dans ses plaisirs.

Fredrika Bremer - Le foyer domestique (1862)

L'art seul nous fait vivre d'une vie plus élevée.

Fredrika Bremer - Les voisins (1845)