Les citations sur refuser.

La femme dont la vie est une chaste ruse, donne ce qu'elle veut dans ce qu'elle refuse.

Une femme ne donne plus jamais son amitié à l'homme qui l'a refusée.

Quiconque refuse de l'argent, offense.

Ne rien promettre, et donner en disant que l'on refuse.

Toutes les fois qu'un enfant veut obtenir une chose ou faire une action qui ne lui convient pas, on ne doit pas le lui accorder sous prétexte qu'il est petit, et parce qu'il le désire ; il faut, au contraire, toutes les fois qu'il réclamera quelque chose avec importunité, lui faire comprendre que pour cette raison même elle lui sera refusée.

Les hommes sont bizarres ; ils ne savent rien refuser à une femme qui leur est étrangère, et celle qui mérite le plus leurs égards semble toujours celle qui en obtient le moins.

Quand on veut refuser c'est un service à rendre que de refuser vite et ne pas faire attendre.

Faire après ce qu'avant on refusait de faire, ce n'est pas ce qu'on nomme être droit en affaire.

Il est aussi dangereux de refuser l'amitié d'un homme qui vous l'offre sincèrement que de refuser l'amour d'une femme.

Savoir refuser est d'aussi grande importance que savoir accorder.

Refuser en donnant des raisons, ce n'est point refuser.

Veut-il aux importuns refuser court et net, le sage ne fait pas de phrases, il se tait.

Par sens civique, je refuse toute offre de travail : Ce serait prendre la place d'un chômeur.

Ne refuse jamais ton opinion, ta conviction positives, lorsqu'elles sont désirées.

On peut tout espérer d'un bon cœur lorsqu'il a intérêt de ne rien refuser.

Une vérité indéniable cesse d'être vraie si la femme la refuse.

L'homme sensé regarde parfois comme un extravagant celui qui refuse de partager sa manière de voir, le sot le regarde presque toujours comme un ennemi.

Le véritable esprit de concession est de savoir accorder à temps ce que la prudence nous interdit de refuser.

Les défauts de notre bienfaiteur nous servent plus souvent de prétexte pour lui refuser notre reconnaissance que de motif pour repousser ses bienfaits.

Le meilleur moyen d'éviter l'ingratitude, c'est de ne s'adresser à la bienveillance du prochain qu'autant que la nécessité nous fait un devoir aussi impérieux de demander qu'à lui de ne pas refuser.

Rien ne suffit à qui ne se refuse rien.

Demandons peu à ceux auxquels il coûte tant de refuser.

Je déteste dépendre, c'est-à-dire vivre d'autrui, avoir besoin du dehors, me reconnaître vassal et permettre aux autres de me faire peine ou plaisir, en m'accordant ou me refusant leurs bonnes grâces.

Il n'y aurait plus d'ingrats si nous nous souvenions des services qu'on nous rend comme de ceux qu'on nous refuse.

Nous prisons mieux et plus l'œuf qu'on nous refuse que le bœuf qu'on nous donne.

À force de refuser avec une grâce exquise tous les services qu'on leur demande, il est des gens qui se font presque une réputation d'obligeance.

L'expérience nous apprend qu'il y a plus d'inconvénients à rendre des services à des personnes légères ou inconsidérées, qu'à en refuser à celles qui sont sages et prudentes.

Refuser vite à qui vous demande un service, c'est encore après tout lui rendre un bon office.

Bienveillant est celui qui, s'il doit refuser, refuse tout d'abord et sans temporiser.

Il est moins difficile à une femme de refuser toujours avec la même sévérité que d'accorder toujours avec de nouveaux agréments.