Les citations sur les femmes (2).
Les citations et aphorismes sur le mot femmes :
Les femmes ne s'accommodent guère d'un homme jaloux, et elles ne haïssent point un peu de jalousie. La fin chez elles n'est pas une fuite des moyens, l'humeur n'admet pas les principes.
Aimer est toujours un verbe actif pour les femmes qui n'ont ni jeunesse, ni beauté, ni agrément, mais il n'a plus de passif pour elles.
Le miroir des femmes, sur leur ajustement et sur leur beauté, est le seul juge souverain dont elles n'appellent qu'à lui-même.
La brune et la blonde ne sont pas aussi différentes entre elles que le sont en elles-mêmes la plupart des femmes, du jour au lendemain.
La plupart des femmes sont comme ces procès qui se doivent gagner par le fond, et qui se perdent par la forme.
Les femmes qui plaisent le plus aux yeux ne sont pas toujours celles qui plaisent le plus au cœur.
Les femmes qui ne veulent pas parler d'amour, ne sont pas celles qui le haïssent davantage.
S'il n'y a point de femmes parfaites, y a-t-il des hommes parfaits ?
Les femmes qui inspirent les plus grandes passions, seraient-elles si aimées, si elles n'avaient point de défauts ?
La connaissance des femmes est un art où personne n'a jamais passé maître.
Les femmes aiment mieux qu'on froisse leur robe que leur amour-propre.
Pour obtenir le droit de déshabiller certaines femmes, il faut d'abord faire les frais de leur toilette.
Où il y a un mur d'airain pour nous, il n'y a souvent qu'une toile d'araignée pour les femmes.
Si les femmes ne faisaient pas partie du monde, il y a beau temps que je n'en ferais plus partie moi-même.
La première et la plus importante qualité des femmes est la douceur. Le ciel ne les fit point insinuantes et persuasives pour devenir acariâtres ; il ne les fit point faibles pour être impérieuses ; il ne leur donna point une voix si douce pour dire des injures ; il ne leur fit point des traits si délicats, pour les défigurer par la colère.
Les femmes jugent en général beaucoup mieux les individus que les choses, les personnes que les affaires.
Les femmes sont comme les roses ; leur belle fleur, une fois épanouie, tombe dans l'heure même.
La vertu des femmes tient beaucoup au foyer domestique, l'air du dehors lui est dangereux : une femme répandue est trop souvent une femme perdue.
Les femmes se trompent lorsqu'elles croient s'embellir par l'immodestie ; elles augmentent singulièrement leurs charmes en les cachant aux yeux ; l'imagination est riche, généreuse, et leur rend libéralement au centuple tout ce qu'elles dérobent aux regards. C'est autant au bénéfice de l'amour qu'à celui de la pudeur qu'ont été inventés et les vêtements et peut-être la pudeur elle-même.
Savoir résister aux femmes, c'est donner une meilleure opinion de son caractère que de son cœur.
Les femmes sont les fleurs de la vie, comme les enfants en sont les fruits.
De tout ce qui a été dit sur les femmes, il ne résulte rien, sinon que, tant qu'il y aura une femme, il y aura quelque chose à dire sous le soleil.
Les femmes, précieux ornements de la terre, sont une seconde âme de notre être, qui, sous une autre enveloppe, correspond intimement à toutes nos pensées, qu'elles éveillent ; à tous nos désirs, qu'elles font naître et partagent ; à nos faiblesses, qu'elles peuvent plaindre, sans en être atteintes.
Les femmes aiment à choyer et dorloter ceux qu'elles aiment.
Les femmes parlent toujours de la vertu, et cherchent sans cesse le plaisir.
Il y a dans l'empire des femmes un pouvoir et une grâce inexprimable : d'une main elles subjuguent la puissance altière ; de l'autre elles supportent et touchent les malheureux sans les blesser.
Celui qui n'est pas l'ami des femmes ne nous donne pas une meilleure idée de son esprit que de son cœur.
Vingt mille femmes mal faites font passer une mode qui n'est favorable qu'à leur défaut ; le petit nombre de belles femmes s'y assujettit : la majorité l'emporte.
On reproche aux femmes de craindre la société des femmes qui ont plus de beauté ou de mérite qu'elles, et on ne reproche pas aux savants, aux artistes, aux gens de lettres, d'éviter de se mettre en comparaison avec ceux qui ont plus de talent qu'eux, ce qui est précisément la même chose.
Femmes ! Femmes ! objets chers et funestes, que la nature orna pour notre supplice, qui punissez quand on vous brave, qui poursuivez quand on vous craint ; dont la haine et l'amour sont également nuisibles, et qu'on ne peut ni rechercher ni fuir impunément ! Beauté, charme, attrait, sympathie ! être ou chimère inconcevable, abîme de douleurs et de voluptés ! malheureux qui se livre à ton calme trompeur ! c'est toi qui produis les tempêtes qui tourmentent le genre humain.
Toutes les femmes se ressemblent, elles n'ont de bon que ce qu'elles ont de beau.
J'aime mieux les femmes blondes aux yeux bleus que les brunes : elles sont plus femmes, elles s'éloignent davantage de la ressemblance de l'homme. Les yeux noirs ont de la vivacité, mais une vivacité uniforme ; leur langage n'a que quelques mots expressifs, mais toujours les mêmes ; les yeux bleus disent tout et de mille manières différentes, ils expriment jusqu'aux menaces les plus délicates et les plus difficiles à saisir.
Les femmes, avant tout, veulent plaire ; elles n'ont rien à faire près de ceux qui les trouvent adorables, et qui se récrient à chacun de leurs gestes, à chacune de leurs paroles. Mais si un homme ne les admire pas sans restriction, s'il est indifférent à leur beauté, c'est celui-là qu'elles veulent charmer.
Qui pense connaître les femmes ne les connaît point, pourquoi ? Un regard, un mot, un sourire d'une seule femme, vous feront oublier en un instant toute votre science et toutes vos découvertes.
J'ai beaucoup d'égards pour les femmes âgées, mais j'aime cependant mieux les jeunes femmes, qui me causent des égarements.
Les femmes ont un tact exquis pour découvrir les différents caractères des hommes, et les nuances qui les modifient ne leur échappent pas. C'est à la nécessité de leur plaire qu'elles doivent cette précieuse sagacité qui fait que la plus médiocre d'entre elles connaît mieux les hommes de la société, que le philosophe le plus éclairé ne connaît ses disciples ou ses amis.