Les citations sur les femmes (2).

Les citations et aphorismes sur le mot femmes :

Les femmes ne s'accommodent guère d'un homme jaloux, et elles ne haïssent point un peu de jalousie. La fin chez elles n'est pas une fuite des moyens, l'humeur n'admet pas les principes.

François Salvat de Montfort - Vasconiana ou recueil des bons mots (1708)

Aimer est toujours un verbe actif pour les femmes qui n'ont ni jeunesse, ni beauté, ni agrément, mais il n'a plus de passif pour elles.

François Salvat de Montfort - Vasconiana ou recueil des bons mots (1708)

Le miroir des femmes, sur leur ajustement et sur leur beauté, est le seul juge souverain dont elles n'appellent qu'à lui-même.

François Salvat de Montfort - Vasconiana ou recueil des bons mots (1708)

La brune et la blonde ne sont pas aussi différentes entre elles que le sont en elles-mêmes la plupart des femmes, du jour au lendemain.

François Salvat de Montfort - Vasconiana ou recueil des bons mots (1708)

La plupart des femmes sont comme ces procès qui se doivent gagner par le fond, et qui se perdent par la forme.

François Salvat de Montfort - Vasconiana ou recueil des bons mots (1708)

Les femmes qui plaisent le plus aux yeux ne sont pas toujours celles qui plaisent le plus au cœur.

François Salvat de Montfort - Vasconiana ou recueil des bons mots (1708)

Les femmes qui ne veulent pas parler d'amour, ne sont pas celles qui le haïssent davantage.

François Salvat de Montfort - Vasconiana ou recueil des bons mots (1708)

S'il n'y a point de femmes parfaites, y a-t-il des hommes parfaits ?

François Salvat de Montfort - Vasconiana ou recueil des bons mots (1708)

Les femmes qui inspirent les plus grandes passions, seraient-elles si aimées, si elles n'avaient point de défauts ?

François Salvat de Montfort - Vasconiana ou recueil des bons mots (1708)

La connaissance des femmes est un art où personne n'a jamais passé maître.

François Salvat de Montfort - Vasconiana ou recueil des bons mots (1708)

Les femmes aiment mieux qu'on froisse leur robe que leur amour-propre.

Jean-Louis-Auguste Commerson - La petite encyclopédie bouffonne (1860)

Pour obtenir le droit de déshabiller certaines femmes, il faut d'abord faire les frais de leur toilette.

Jean-Louis-Auguste Commerson - La petite encyclopédie bouffonne (1860)

Où il y a un mur d'airain pour nous, il n'y a souvent qu'une toile d'araignée pour les femmes.

Denis Diderot - Les réflexions sur les femmes (1772)

Si les femmes ne faisaient pas partie du monde, il y a beau temps que je n'en ferais plus partie moi-même.

Hypolite de Livry - Les pensées et réflexions (1808)

La première et la plus importante qualité des femmes est la douceur. Le ciel ne les fit point insinuantes et persuasives pour devenir acariâtres ; il ne les fit point faibles pour être impérieuses ; il ne leur donna point une voix si douce pour dire des injures ; il ne leur fit point des traits si délicats, pour les défigurer par la colère.

Jean-Jacques Rousseau - Émile, ou De l'éducation (1762)

Les femmes jugent en général beaucoup mieux les individus que les choses, les personnes que les affaires.

Paul Thiébault - Le recueil de pensées (1805)

Les femmes sont comme les roses ; leur belle fleur, une fois épanouie, tombe dans l'heure même.

William Shakespeare - La nuit des rois (1600)

La vertu des femmes tient beaucoup au foyer domestique, l'air du dehors lui est dangereux : une femme répandue est trop souvent une femme perdue.

Alfred Auguste Pilavoine - Les pensées, mélanges et poésies (1845)

Les femmes se trompent lorsqu'elles croient s'embellir par l'immodestie ; elles augmentent singulièrement leurs charmes en les cachant aux yeux ; l'imagination est riche, généreuse, et leur rend libéralement au centuple tout ce qu'elles dérobent aux regards. C'est autant au bénéfice de l'amour qu'à celui de la pudeur qu'ont été inventés et les vêtements et peut-être la pudeur elle-même.

Alphonse Karr - Les femmes (1853)

Savoir résister aux femmes, c'est donner une meilleure opinion de son caractère que de son cœur.

Chauvot de Beauchêne - Les maximes, réflexions et pensées diverses (1819)

Les femmes sont les fleurs de la vie, comme les enfants en sont les fruits.

Jacques-Henri Bernardin de Saint-Pierre - Les harmonies de la nature (1815)

De tout ce qui a été dit sur les femmes, il ne résulte rien, sinon que, tant qu'il y aura une femme, il y aura quelque chose à dire sous le soleil.

Pierre-Jules Stahl - Les pensées diverses (1882)

Les femmes, précieux ornements de la terre, sont une seconde âme de notre être, qui, sous une autre enveloppe, correspond intimement à toutes nos pensées, qu'elles éveillent ; à tous nos désirs, qu'elles font naître et partagent ; à nos faiblesses, qu'elles peuvent plaindre, sans en être atteintes.

Joseph-Alexandre de Ségur - Les femmes (1802)

Les femmes aiment à choyer et dorloter ceux qu'elles aiment.

Henri-Frédéric Amiel - Journal intime, le 11 avril 1878.

Les femmes parlent toujours de la vertu, et cherchent sans cesse le plaisir.

Jacques-Henri Bernardin de Saint-Pierre - Le discours sur l'éducation des femmes (1777)

Il y a dans l'empire des femmes un pouvoir et une grâce inexprimable : d'une main elles subjuguent la puissance altière ; de l'autre elles supportent et touchent les malheureux sans les blesser.

Jacques-Henri Bernardin de Saint-Pierre - Le discours sur l'éducation des femmes (1777)

Celui qui n'est pas l'ami des femmes ne nous donne pas une meilleure idée de son esprit que de son cœur.

Joseph Sanial-Dubay - Les pensées sur l'homme, le monde et les moeurs (1813)

Vingt mille femmes mal faites font passer une mode qui n'est favorable qu'à leur défaut ; le petit nombre de belles femmes s'y assujettit : la majorité l'emporte.

Antoine de Rivarol - Les pensées inédites de Rivarol (1836)

On reproche aux femmes de craindre la société des femmes qui ont plus de beauté ou de mérite qu'elles, et on ne reproche pas aux savants, aux artistes, aux gens de lettres, d'éviter de se mettre en comparaison avec ceux qui ont plus de talent qu'eux, ce qui est précisément la même chose.

Constance de Théis - Les pensées diverses (1835)

Femmes ! Femmes ! objets chers et funestes, que la nature orna pour notre supplice, qui punissez quand on vous brave, qui poursuivez quand on vous craint ; dont la haine et l'amour sont également nuisibles, et qu'on ne peut ni rechercher ni fuir impunément ! Beauté, charme, attrait, sympathie ! être ou chimère inconcevable, abîme de douleurs et de voluptés ! malheureux qui se livre à ton calme trompeur ! c'est toi qui produis les tempêtes qui tourmentent le genre humain.

Jean-Jacques Rousseau - Esprit, maximes et principes (1764)

Toutes les femmes se ressemblent, elles n'ont de bon que ce qu'elles ont de beau.

Étienne de Jouy - L'Hermite de la Chaussée d'Antin (1814)

J'aime mieux les femmes blondes aux yeux bleus que les brunes : elles sont plus femmes, elles s'éloignent davantage de la ressemblance de l'homme. Les yeux noirs ont de la vivacité, mais une vivacité uniforme ; leur langage n'a que quelques mots expressifs, mais toujours les mêmes ; les yeux bleus disent tout et de mille manières différentes, ils expriment jusqu'aux menaces les plus délicates et les plus difficiles à saisir.

Alphonse Karr - Une heure trop tard (1833)

Les femmes, avant tout, veulent plaire ; elles n'ont rien à faire près de ceux qui les trouvent adorables, et qui se récrient à chacun de leurs gestes, à chacune de leurs paroles. Mais si un homme ne les admire pas sans restriction, s'il est indifférent à leur beauté, c'est celui-là qu'elles veulent charmer.

Alphonse Karr - Une heure trop tard (1833)

Qui pense connaître les femmes ne les connaît point, pourquoi ? Un regard, un mot, un sourire d'une seule femme, vous feront oublier en un instant toute votre science et toutes vos découvertes.

Alphonse Karr - Les femmes (1853)

J'ai beaucoup d'égards pour les femmes âgées, mais j'aime cependant mieux les jeunes femmes, qui me causent des égarements.

Jean-Louis-Auguste Commerson - La petite encyclopédie bouffonne (1860)

Les femmes ont un tact exquis pour découvrir les différents caractères des hommes, et les nuances qui les modifient ne leur échappent pas. C'est à la nécessité de leur plaire qu'elles doivent cette précieuse sagacité qui fait que la plus médiocre d'entre elles connaît mieux les hommes de la société, que le philosophe le plus éclairé ne connaît ses disciples ou ses amis.

Chauvot de Beauchêne - Les maximes, réflexions et pensées diverses (1819)

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