Les citations sur les femmes.

Il est des femmes que l'on traite en enfant et qu'on console avec des chansons.

Je voudrais savoir lire dans le cœur des femmes, ce serait ma lecture favorite. — Je commencerais par les Mille et une Nuits.

Je n'aime ni les éditions ni les femmes contrefaites.

Les femmes aiment mieux qu'on froisse leur modestie que leurs robes.

Les femmes qu'on estime les plus froides ne sont souvent que les plus timides.

Une querelle entre deux femmes, c'est une bouderie qui s'éternise.

Les idées comme les femmes, il faut les lever quand elles passent. Après, on les perd de vue, et comme on n'a ni adresse, ni téléphone pour les retrouver, il faut attendre une nouvelle rencontre, aussi fortuite que la première.

Plus je rencontre de femmes plus je suis dépaysé, et plus je vois d'hommes, plus je suis froissé.

Il y a des sourires de femme qui transforment les choses et les cœurs.

Il est des femmes qu'il est impossible de ne pas regarder, tellement elles sont belles.

Il y a des hommes qui sont destinés à aimer les femmes, moi je suis né pour en adorer une.

Garde-toi des femmes jusqu'à vingt ans, éloigne-toi d'elles après quarante.

Deux femmes deviennent rarement amies, si ce n'est aux dépens d'une troisième.

Dieu n'a créé les femmes que pour apprivoiser les hommes.

L'amour est fait pour les femmes, et les femmes sont faites pour l'amour.

Le peu de succès des péronnelles qui affichent leurs opinions, qui font étalage de leur personnalité, qui proclament qu'elles ont leur « petit caractère » et qu'il faut les prendre comme elles sont : On ne les prend pas ou, si on les prend, on les laisse bientôt, ce qui fait des malheureuses ou, par esprit de contradiction, des originales, dont on rit.

Jadis les femmes avaient la prudence de n'être cyniques qu'entre elles ; l'homme était l'ennemi que l'on ne dupait jamais trop ; la traînée la plus avérée avait des pudeurs et des exigences d'ingénue séduite ; maintenant c'est plutôt l'ingénue qui joue à l'effrontée par provocation ou par hâblerie, pour imiter les garçons.

Les honnêtes femmes ont des exigences et quelquefois des aigreurs.

Certaines femmes se connaissent en chiffres plus encore qu'en chiffons.

Les femmes ont toujours dans l'esprit un coin pour l'erreur, et dans le cœur une entrée pour la flatterie.

Les femmes n'ont été inventées que pour tromper nos ennuis ; leur sourire est un ravissant mensonge, la promesse de félicités impossibles, et le prix appartient de droit à celle qui ment le mieux. Bien fou qui les prend au sérieux !

L'amitié entre femmes jolies est très rare. Il n'en est point de parfaite.

J'ai connu des femmes qui tiraient fierté de la rougeur de leur teint ou d'un embonpoint menaçant, signe, disaient-elles, de bonne santé et qui eussent donné volontiers un an de leur vie pour être pâles et minces.

Les femmes ont plus d'âme que d'esprit, et plus de tact que de discernement.

Il y a des femmes dont la beauté intérieure n'a manifestement pas trouvé la sortie.

Ce sont les femmes au cœur de pierre qui méritent d'être lynchées !

Il y a des femmes-vagues qui vous enveloppent en déferlant.

J'ai un fort penchant pour les femmes plus jeunes que moi. Bref, je suis un cougar mâle.

Les femmes, c'est comme les ordinateurs, on n'utilise que 10% de leur potentiel. L'amour est-il forcément aphrodisiaque ?

Les femmes ne regardent généralement dans leur rétroviseur que pour recharger leurs lèvres de rouge.

Même chez les femmes la gravité a un centre, mais je préfère de beaucoup la périphérie.

Il y a des femmes qui m'aiment parce que je leur rappelle un homme.

Les femmes pour qui c'est toujours « jamais le moment » ne doivent pas s'étonner que leur mari ne soit jamais « toujours là ».

Deux femmes s'aiment à distance ; dans le même salon elles se jalousent.

La plupart des femmes séduites y ont mis tant de bonne volonté !

Je vais au cœur des femmes par le sentier le plus fleuri et le plus long.

Les femmes ne comprennent pas qu'on puisse aimer à des degrés différents ; elles parlent beaucoup de l'âme, mais le corps leur tient fort au cœur, car elles voient tout l'amour mis en jeu dans l'acte du corps ; on peut adorer une femme et aller chaque soir chez les filles.

Les femmes se défient trop des hommes en général, et pas assez en particulier, elles nous jugent tous comme des monstres, mais au milieu des monstres il y a un ange ; nous ne sommes ni monstres ni anges.

Le monde, qui n'est que mauvais, sans les femmes serait tout à fait inhabitable.

Les femmes ont encore plus à se méfier des femmes que des hommes.