Les citations sur l'étude
Les 40 citations et proverbes étude :
De l'étude bientôt le charme nous ravit ; amère en sa racine, elle est douce en son fruit.
Puisse l'étude de la littérature grecque et latine servir toujours de base à la haute culture intellectuelle !
L'étude orne l'esprit de vérités, elle élève l'âme ; elle apprend à connaître les hommes, elle nous rend plus humains, plus éclairés, et plus agréables à la société.
L'étude est la vie du savant.
N'obligez jamais un enfant à une étude qui serait un fardeau pour lui et qu'il faudrait lui imposer comme une tâche. Toute étude faite dans ces conditions lui devient déplaisante.
Il faut inspirer aux enfants le goût et l'amour des études qu'on leur propose.
Certaines personnes ont un instinct qui supplée à l'étude et qui tient du génie.
On n'a jamais vu personne aimer l'étude et s'y appliquer constamment, et rester dans l'ignorance.
Les plaisirs de l'étude sont préférables à ceux du monde, on voit tous les jours des personnes de tout sexe et de tout âge se dégoûter du monde, et y renoncer sans retour, mais on n'a jamais vu les véritables savants renoncer à l'étude, ni les gens de lettres et les artistes distingués se dégoûter de la littérature et des arts.
Le bonheur des gens du monde n'est qu'une illusion, mais rien n'est plus réel que celui des personnes qui aiment véritablement l'étude, la littérature et les arts. Leurs plaisirs ne sont pas bruyants, leur genre de vie est sédentaire et retiré, leurs occupations sont solitaires ; voilà pourquoi leurs jouissances et leur bonheur ne peuvent frapper les yeux de la multitude ; voilà pourquoi le vulgaire ignore à quel point ils sont heureux. Mais combien on envierait leur sort, si l'on pouvait les suivre dans leur retraite, si l'on y voyait l'innocence et la tranquillité de leur vie ; si l'on pouvait connaître combien le temps passe délicieusement et rapidement pour eux, et souvent même au milieu des revers, et en dépit des rigueurs de la fortune et de l'injustice des hommes !
L'étude rend savant, la réflexion rend sage.
L'étude, au bout du compte, ajoute peu, mais elle excite.
Au début, l'étude est pénible ; plus tard elle devient une source abondante de jouissances.
Il faudrait pouvoir recommencer ses études avec son intelligence de trente ans.
L'étude est la seule chose qu'il soit possible d'opposer à l'amour. On pourrait même croire qu'agissant tous deux sur l'imagination, ils ont des rapports que nous ne pouvons comprendre ; car une grande passion ne s'est jamais alliée avec un grand amour du travail, et ce qui alimente l'un affaiblit nécessairement l'autre.
Nous n'avons tous qu'une portion plus ou moins grande de facultés à donner au travail d'esprit. Celui qui la divise en se livrant à plusieurs genres d'études affaiblit nécessairement chacun de ses résultats. La manie d'embrasser toutes les connaissances humaines est aujourd'hui devenue générale ; l'ambition du savoir semble remplacer toutes les autres, et donner même à l'esprit une force et une extension qu'il n'a pas eues jusqu'à présent : mais, à quelque hauteur qu'il s'élève, il n'en est pas moins soumis à la loi générale qui borne et limite tout ; et, quoique ce siècle soit évidemment celui des lumières, peut-être sera-t-il plus célèbre encore par la masse de ces lumières, que par ces grandes renommées dont les temps passés nous offrent tant d'exemples, et que l'on n'acquiert qu'en réunissant toutes ses facultés sur un seul point, et en le rendant le foyer de tout ce que l'on se sent capable de faire.
Les plus grands de tous les bienfaits sont ceux que nous avons reçus de nos parents, à notre insu ou même contre notre gré. Las parents contraignent leurs enfants, dès leur bas âge, à supporter tout ce qui leur est bon et salutaire ; ils protègent, ils redressent leurs faibles corps avec un soin extrême, malgré leurs cris et leur résistance ; ils leur inculquent, de gré ou de force, les études libérales ; ils les accoutument, souvent malgré eux, à la frugalité, à la pudeur, à toutes les vertus.
L'homme le plus heureux est celui qui unit aux jouissances rapides des sens les douceurs et les charmes de l'étude. L'étude est la source la plus sûre contre l'ennui, ce mal indéfinissable, attaché à l'homme.
L'étude est merveilleusement propre à rehausser la prospérité, comme à atténuer le malheur. Elle est tout à la fois et le plus bel ornement et la plus grande consolation de l'homme.
Consacrez votre temps à l'étude et vous éviterez tout ennui, tout dégoût de la vie ; vous ne serez ni à charge à vous-même, ni inutile aux autres.
La premiere école des mœurs est l'étude.
Les heures consacrées à l'étude sont des heures dérobées aux peines de la vie et arrachées aux vices.
Considérée comme travail, l'étude a l'avantage de porter au bien, car le travail est le remède contre le vice pour rendre bon et conserver tel. Mais aussi, pour opérer un véritable bien, l'étude a besoin d'être dirigée, c'est-à-dire de n'avoir pour objet que des choses estimables.
L'étude doit être ce qu'elle est pour l'homme sensé et le sage, un moyen de devenir meilleur.
L'étude, en procurant sans cesse de nouvelles jouissances à l'homme, ne guérit pas toutes les peines de son âme, mais elle en soulage beaucoup.
Trop d'étude rend sombre et abstrait, trop de laisser-aller rouille et engourdit. Il faut savoir, mais préférablement à tout, il faut savoir vivre. Choisissez un juste milieu entre l'ignorance et le profond savoir. Ayez l'esprit plus orné que chargé. Cultivez votre mémoire sans l'accabler. Etendez vos connaissances, mais surtout ne les prodiguez point, et n'en faites jamais ostentation ; ménagez l'amour-propre des autres, et que votre science se montre comme malgré vous. Ne donnez pas dans le pédantisme d'un savantasse, mais encore moins dans l'esprit futile et romanesque de nos petits-maîtres.
L'étude des livres est un doux amusement pour ceux qui aiment l'instruction.
Vivre est ce long apprentissage où nul ne souhaite obtenir le diplôme de fin d'études.
L'étude est une occupation solide, ou un amusement agréable.
Ennemi de la gêne et de la contrainte, l'amour-propre s'oppose constamment à l'étude de nous-mêmes.