Le coupable craint la mort, le malheureux l'appelle.
Le moment de la mort n'est pas celui de faire de beaux discours.
La mort est le terme où tout aboutit.
Grands comme petits, nul n'échappe à la mort.
La loi de la mort rend tous les hommes égaux.
La mort a toujours surpris, et surprendra toujours les hommes.
Un même instant attend tous les hommes, tous doivent franchir le triste passage.
La pâle mort heurte du même pied aux cabanes du pauvre qu'aux demeures des riches.
La mort nous attend tous, les uns plus tôt, les autres plus tard.
Pendant que nous causons, la mort arrive et nous enveloppe de ses ombres.
De nouveaux tombeaux s'ouvrent chaque jour, et se ferment pour toujours.
Il est plus dur d'appréhender la mort que de la souffrir.
Qui craint la mort ne connaît pas la joie de vivre.
La mort est une corde au cou de tout vivant.
La mort n'est qu'un mariage avec l'éternité.
Le clairon ne sonne pas d'avance l'heure de la mort.
La mort est imprévisible.
À la vue de la mort, l'homme appelle après la fièvre.
Approche-toi du mort, alors tes larmes couleront.
Aujourd'hui c'est le monde ; demain, c'est l'autre monde.
La mort se trouve entre la bouche et le nez.
Si, lorsqu'un homme est mort, tu dors d'un profond sommeil, c'est toi que l'on pleure.
Je viens de loin (naissance), mais le lieu où je vais me reposer est proche (mort).
Le visage d'un homme mort ne s'oublie jamais.
Tout le monde meurt, mais personne n'est mort.
La vie et la mort sont comme les deux faces d'une feuille blanche.
J'accepte la mort, mais non la vieillesse.
Quand la mort t'offrira sa coupe, porte sans regrets cette coupe à tes lèvres.
La mort n'est pas l'amie des braves ; le brave n'est pas l'ami des lâches.
La mort est notre hôte.
La mort d'une mère et un siège en pierre font mal avec le temps.
De ton vivant tout se conserve, après ta mort tout se gaspille.
Si tu souffres, attends que la mort vienne te délivrer, mais surtout ne la devance pas.
La mort n'épargne ni le riche ni le pauvre.
La mort frappe à la porte aussi bien à la chaumière du pauvre qu'au palais des rois.
La mort est un vêtement que tout le monde devra porter.
Lorsqu'on est mort, on n'a pas peur de la décomposition de son corps.
La mort ne connaît ni âge, ni jour, ni heure.
Lorsque l'étuve et l'eau-de-vie se montrent impuissantes, la mort est proche.
Contre la mort il n'y a pas de forteresse.
La vie n'est pas éternelle, et la mort est le repos.
Le feu devient cendre, l'homme devient poussière.
La mort est la mère de tous.
Défie la mort, les gens te craindront.
Tous rêvent d'une belle mort, mais peu la méritent.
Il faut attendre la mort pour bien juger la vie.
L'oeil de l'endeuillé est étroit.
Fais le mort, tu verras ceux qui t'aiment.
La mort est invincible, le fétiche n'est qu'un mythe.
La mort nous guette tous, nulle part où s'enfuir.
Autre chose est de parler de la mort, autre chose est de mourir.
Qui n'a goûté à la mort ignore la saveur des nourritures.
L'ange de la mort tue, et s'en va sanctifier.
Une fois le métayer mort, le potager est à l'abandon.
Rien ne manque aux funérailles des riches, sauf des gens qui les regrettent.
Il est trop quand on est mort pour aller chez le médecin.
À la mort de l'orphelin, la terre durcit ; à la mort du riche, la terre est ramollie.
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