L'amour, on y croit dans l'adolescence, on le cherche dans la jeunesse avec foi, et on le regrette plus tard avec larmes, comme on regrette ces pays enchantés où nous allions enfants, où les contes de fées promenaient notre imagination tendre et naissante sous un soleil plus beau que le nôtre, parmi des verdures dont les nôtres ne sont qu'une faible et imparfaite nuance.