Les citations sur ressembler
Les 52 citations et proverbes ressembler :
Les hommes (moralement parlant) ressemblent aux poires : quand ils s'amollissent, c'est un symptôme de faisandage.
Dieu ne ressemble guère au melon ; car Dieu dispose, et le melon indispose.
Ce qui ressemble le plus à un ballon, c'est un pédant ; il en a le vide et l'enflure.
Une foule de gens se ressemblent trop pour ne pas se haïr.
Si un jour jamais mon cœur se met à frissonner, c'est que j'aurai rencontré un homme qui ne ressemble pas à tous les hommes que je connais.
Toutes les femmes se ressemblent par le cœur, quand elles en ont, bien entendu.
Les hommes ressemblent souvent à des singes, mais jamais les singes ne ressemblent à des hommes.
L'imagination ressemble au bouillonnement qui fait déborder le vase.
La gaucherie naturelle est préférable à des poses affectées qui font qu'un enfant ressemble à un singe !
Les gens que l'on imite sont flattés qu'on veuille leur ressembler et que l'on s'y évertue, mais exaspérés aussi par ces copies trop chargées où c'est justement ce qu'ils n'aiment pas en eux-mêmes qui ressort avec le plus de relief.
On me dit souvent que la France, c'est les Français. Je n'en crois rien. Les Français ne se ressemblent pas d'un siècle à l'autre, d'une minute à l'autre. La France, Dieu merci, n'a rien à voir avec ces individus changeants.
Moins on ressemble aux autres, moins on doit se flatter de parler en leur nom.
L'hypocrite ressemble aux monuments des morts : Au dedans la poussière, et l'éclat au dehors.
Nos malheurs à nos yeux ne ressemblent jamais aux malheurs d'autrui.
Quelques gens ressemblent à un pot neuf qui prend pour toujours l'odeur de la première liqueur.
La vie ressemble à un film d'une chaîne de douleurs reçues puis transmises.
Les héros et les niais, ces deux espèces d'hommes se ressemblent un peu, les uns et les autres prennent leur pensée pour la mesure des choses ! Mais tandis que les héros n'ont qu'à frapper la terre du pied pour voir leurs rêves marcher au soleil devant eux, les niais, hommes de néant, se débattent tristement jusqu'à la fin contre la vanité de leurs informes chimères : Les niais ont beau essayer de tout, tout manque, tout échoue entre leurs mains, la vie se refuse à tout ce qu'ils entreprennent, et ils comptent leurs jours par des desseins avortés et des espérances condamnées.
Le travail du cerveau dans la composition ressemble à celui d'une femme qui dévide un peloton ; le malheur est qu'il raisonne très serré d'après des principes très arbitraires, et qu'il a tout prouvé sauf son commencement.
Nous naissons tous avec l'idée d'une certaine beauté qui répond à notre esprit, et quand nous rencontrons la femme qui ressemble à notre rêve, nous disons : La voilà, c'est elle !
Toutes les vaches se ressemblent ; elles portent toutes dans leurs yeux quelque chose de fixe et d'éternel, un rêve silencieux d'herbe fraîche.
Un noble esprit attire et sait fixer auprès de lui des esprits qui lui ressemblent.
Le sot ressemble à un âne qui secoue les oreilles et refuse d'aller.
Inacceptable : Dans le ciel, des nuages qui ne ressemblent à rien, même pas à des nuages.
Les hommes se ressemblent tous, ils prennent leur pensée pour la mesure des choses.
Quand elles n'ont rien d'autre à faire les femmes se contentent de ressembler à leur mère.
Les hommes se ressemblent par leurs vertus et leurs vices. Ce n'est guère que par leurs défauts ou qualités qu'ils diffèrent.
Nul ne ressemble plus à un homme dénué de toute vertu que celui qui n'est vertueux que par tempérament.
Toutes les cendres se ressemblent.
Il y a des mémoires qui ressemblent à certaines boutiques : tout s'y trouve, rien n'y frappe.
Les vieux époux finissent par se ressembler. Tous les gens de la même profession n'ont-ils pas le même air ?