Les citations sur le mal

La vie est un mal dont un flacon d'aconit guérit.

On s'attache à quelqu'un par le mal qu'on lui fait.

Une légère négligence produit parfois un grand mal.

Il ne faut pas se repentir seulement du mal qu'on a causé, mais encore du bien qu'on n'a pas fait.

Il y a des gens dont je pense tant de mal qu'il est inutile que j'en dise.

Le mal recueille le mal ; et l'infamie, la rétribution de l'infamie.

Les méchants sont ceux qui font le mal froidement et pour le seul plaisir de le faire.

Ce qui est un bien pour les uns est un mal pour les autres.

Le mal des uns n'apaise pas celui des autres.

On ne connaît le mal que tardivement, trop tard souvent. Je veux dire ce qui vous fait du mal, et peut vous tuer.

Il faut avoir l'oreille dure pour tout le mal qui se dit en ce monde.

Le plus sûr moyen de ne pas guérir de son mal, c'est de l'aimer.

Maxime maso : Fais-moi mal, ça me fait du bien.

Le lierre se fout pas mal de ce que pense le mur qu'il est en train d'envahir.

Il n'est pas permis de faire le mal, même pour qu'il en résulte du bien.

La plus grande part de la vie se passe à mal faire.

Quand le désordre est dans les idées, il passe tôt ou tard dans les faits : Le mal est toujours le fils de l'erreur.

L'ami nous répète tout le mal qu'on a dit de nous, par amitié.

Le bélier est le mâle de la brebis, la femme est le mal de l'homme.

On ne doit pas plus transiger avec la justice qu'avec la vérité ; quand on commence par faire le mal à moitié, on finit par le faire en entier.

Le mal n'est que la vermine du bien ; l'erreur n'est que la caricature de la vérité.

Il faut pardonner à ceux qui ne savent pas ce qu'ils font, et oublier les pires, ceux qui savent le mal qu'ils font et la douleur qu'ils infligent.

Mieux vaut arrêter le mal dans son principe qu'y remédier à la fin.

Si, plongé dans un liquide, vous ressentez une forte poussée du haut vers le bas c'est que quelqu'un vous veut du mal.

Tout va mal, certes, mais si tout allait bien est-ce que ça irait vraiment mieux ?

Nous en voulons souvent plus à notre ennemi du mal que nous n'avons pu lui faire que de celui qu'il nous a fait à nous-mêmes.

Nous en voulons d'autant plus à celui qui nous a fait du mal, que nous-mêmes y avons contribué davantage par nos fautes ou notre imprudence.

Il faudrait pouvoir oublier le mal qu'on entend dire du prochain, ou se souvenir de le taire.

Le mal est comme l'eau : pour pénétrer il ne lui faut qu'une toute petite fissure.

Les moments perdus ne sont jamais perdus pour le mal.

Ceux qui t'ont fait du mal, laisse-les passer : la vie est large.

Il est impossible de faire du mal aux autres sans s'en faire à soi-même.

Au comble du mal on n'a plus rien à craindre.

L'égoïsme, c'est le véritable mal du siècle.

Les hommes qui disent le plus de mal des femmes ne sont pas ceux qui s'en soucient le moins.

Faire du bien à qui dit du mal de nous est une vertu de roi.

Connaître son mal est déjà une demi-guérison.

Après le mal dont on souffre soi-même, celui que l'on plaint le plus chez les autres, c'est celui dont on est menacé ; il y a de l'égoïsme jusque dans notre compassion pour le prochain.

On ne se laisse aller à dire beaucoup de mal de quelqu'un que devant ceux qui sont bien aises de l'accueillir et désireux de le répandre.

Si disposés que nous soyons à pardonner le mal qu'on dit de nous, il vaut mieux ne pas l'apprendre que d'avoir à l'oublier.