Les citations sur la faculté.
Les 41 citations et proverbes faculté.
La douleur est un des éléments nécessaires de la faculté d'être heureux.
Savoir mettre en harmonie ses besoins et ses facultés, c'est avoir trouvé la source la plus féconde de richesses et de bonheur.
Nous autres les Surdoués nous disposons de cette faculté de faire en toute circonstance une analyse raisonnée de la situation qui débouche, dans la foulée, sur une synthèse lucide avec plan d'action incorporé.
Ce ne sont pas seulement les facultés innées, mais aussi les facultés acquises qui constituent l'homme.
La sensibilité, cette âme de l'âme qui en anime toutes les facultés.
Certains hommes de génie possèdent le don d'immortelle jeunesse, la faculté précieuse des métamorphoses, des renouvellements imprévus. L'expérience les assagit et les mûrit sans les vieillir, et ils ont ainsi plusieurs vies de rechange.
L'homme a la dangereuse faculté de combiner des sentiments contraires, sans que le plus fort tue le plus faible ; il est le seul être capable de porter en lui et de supporter quelque temps des contradictions inconciliables.
Tout ce qui oblige à penser donne aux facultés une impulsion agréable et profitable.
L'harmonie des facultés est le bien suprême. Il est bon qu'un homme soit capable de faire une belle action, il est bon aussi qu'il sache jouir d'un bon repas.
Il faut toujours proportionner ses souhaits à ses facultés.
Les enfants n'ont ni passé ni avenir ; mais, plus heureux que nous, ils jouissent du présent. Ne pressez pas le développement de leurs facultés intellectuelles ; redoutez d'en faire des prodiges ; les phénomènes de dix ans sont presque toujours des hommes médiocres à vingt, et des êtres stupides à quarante ans.
Il est un âge où quelques mois ajoutés à la vie suffisent pour développer des facultés jusqu'alors ensevelies dans un cœur à demi fermé : on se couche enfant, on se réveille homme.
La première des facultés intellectuelles est le bon sens.
Garde-toi de vouloir ce qu'il ne t'est pas possible d'avoir : mesure tes forces et tes facultés.
Certaines natures ne souffrent pas. Les gens sans nerfs sont-ils heureux ? Mais de combien de choses ne sont-ils pas privés ? À mesure qu'on s'élève dans l'échelle des êtres, la faculté nerveuse augmente, c'est-à-dire la faculté de souffrir ; souffrir et penser seraient-ils donc même chose ? Le génie après tout n'est peut-être qu'un raffinement de la douleur, c'est-à-dire une méditation de l'objectif à travers notre âme ?
L'imagination est plutôt une faculté qu'il faut, je crois, condenser pour lui donner de la force, qu'étendre pour lui donner de la condenser pour lui donner de la force, qu'étendre pour lui donner de la longueur ; paillettes d'or légères comme de la paille et volatiles comme la poussière, mes idées ont plutôt besoin d'être mises à la presse que passées au laminoir.
Le compréhensible se rapporte à la faculté sensitive et à l'intelligence ; à lui se rattache la convenance, qui est intimement unie à la bienséance : mais la convenance est relative à un moment particulier et à des circonstances déterminées.
Ce qui use nos facultés est moins ce dont nous nous occupons que ce qui nous occupe ; non le travail dont nous sommes les maîtres, mais celui dont nous sommes les esclaves.
L'homme est si peu maître de son esprit et de ses facultés que les habitudes, les usages, les manies, les modes même, qu'il trouve admirables dans un temps, et tout cela de pleine et entière conviction, lui semblent ridicules ou absurdes dans un autre temps.
Il est si impossible de franchir les barrières que la nature a mises à nos facultés, qu'un homme qui a un petit esprit ne peut même comprendre une grande chose, ni une grande idée.
Il ne faut jamais se mettre dans une situation qui exige une attention, ou une présence d'esprit continuelle ; la faiblesse humaine, ou plutôt la nature de nos facultés qui nous impose, dans tout ce que nous faisons, la loi de faire succéder le repos à la fatigue, et de ne retrouver la force de nos esprits que dans leur inactivité, ne nous permet pas de veiller sans relâche, même à ce qui nous intéresse le plus vivement. C'est faute de faire cette réflexion si simple que l'on compromet souvent son bonheur, sa fortune, son repos et quelquefois son existence.
Nous n'avons tous qu'une portion plus ou moins grande de facultés à donner au travail d'esprit. Celui qui la divise en se livrant à plusieurs genres d'études affaiblit nécessairement chacun de ses résultats. La manie d'embrasser toutes les connaissances humaines est aujourd'hui devenue générale ; l'ambition du savoir semble remplacer toutes les autres, et donner même à l'esprit une force et une extension qu'il n'a pas eues jusqu'à présent : mais, à quelque hauteur qu'il s'élève, il n'en est pas moins soumis à la loi générale qui borne et limite tout ; et, quoique ce siècle soit évidemment celui des lumières, peut-être sera-t-il plus célèbre encore par la masse de ces lumières, que par ces grandes renommées dont les temps passés nous offrent tant d'exemples, et que l'on n'acquiert qu'en réunissant toutes ses facultés sur un seul point, et en le rendant le foyer de tout ce que l'on se sent capable de faire.
Les hommes naissent tous à peu près avec les mêmes facultés et les mêmes penchants ; l'éducation seule fait la différence de nos vertus et de nos talents.
Le balancement qui existe entre les pouvoirs d'un gouvernement mixte doit se retrouver entre les facultés de l'homme appelé il le diriger.
La nature a posé les bornes de toutes nos facultés ; on en affaiblit les germes, en ne travaillant pas à les développer ; on en tarit les sources, en voulant les dépasser.
Plus on exerce une de ses facultés, plus on l'exerce facilement et avec fruit.
Il arrive toujours un âge auquel la vie n'est plus qu'une habitude exercée dans un certain milieu préféré. Le bonheur consiste alors dans l'exercice de nos facultés appliquées à des réalités. Hors ces deux préceptes, tout est faux.
Rarement l'homme est assez sain de corps et d'esprit pour être dans un état complètement normal et harmonique ; il y a toujours en lui quelque chose qui tend ou à l'exaltation ou à l'engourdissement de ses facultés.
Il faut savoir dépenser selon sa condition et ses facultés.
La faculté de penser paraît être l'attribut de l'âme ; plus la raison acquiert de perfection, plus l'âme est parfaite, et plus l'homme est moralement responsable de ses actions.