Les citations sur la bienveillance.
Les 44 citations et proverbes bienveillance.
Si l'on savait que la politesse n'est que le masque de la bienveillance et du dévouement, elle serait accueillie avec moins de faveur.
La bienveillance est un sentiment tellement propre au cœur humain que celui qui cesse de l'éprouver doit être considéré comme un être malade ou défectueux.
La bienveillance doit être comptée parmi nos besoins moraux les plus impérieux. La nature l'inspire à tous les hommes, quoique tous n'en soient pas également pourvus. Cette généreuse disposition de l'âme se développe quelquefois spontanément et sans aucune connaissance intime ou particulière de l'individu vers lequel elle se dirige ; elle se déclare souvent entre des personnes auxquelles il a suffi, pour s'affectionner réciproquement, de se rencontrer dans un lieu public, ces personnes se rapprochent alors par un attrait irrésistible.
La bienveillance est une des inspirations primitives de notre âme ; elle fut l'apanage des premiers hommes qui émanèrent de la création. C'est à l'exercice de cette vertu que la nature attacha leur premier bonheur. La bienveillance ne s'acquiert pas, elle est innée ; elle est tellement inhérente à notre organisation, qu'elle ne coûte pas le moindre effort. C'est une faculté nécessaire à l'existence, à l'harmonie du corps social ; c'est un des attributs essentiels du système sensible.
La sociabilité est cette heureuse disposition de l'âme en vertu de laquelle nous nous trouvons animés d'un sentiment de bienveillance pour nos semblables, et nous sommes naturellement portés à leur faire tout le bien que nous voudrions qu'on nous fît à nous-mêmes.
L'amitié n'est souvent qu'une estime accompagnée de quelque bienveillance.
Celui qui fait l'éloge de nos ennemis diminue rarement notre malveillance pour eux, souvent notre bienveillance pour lui.
Telle est ma nature : Qu'un visage laisse échapper un sourire, et je crois à la bienveillance de l'âme d'où il est sorti ; que la nature envoie un rayon de soleil, et je ne crois plus à la saison des orages.
La malveillance et la haine arrêtent l'observateur à la surface, même quand elles sont accompagnées de sagacité ; mais si, au contraire, la sagacité s'unit à la bienveillance et à l'amour, elle approfondit l'homme et le monde ; elle peut même espérer de s'élever jusqu'au Très-Haut.
On ne vit véritablement que lorsqu'on jouit de la bienveillance des autres.
C'est étonnant comme rien ne nous dispose à la bienveillance vis-à-vis du prochain autant que de savoir qu'il n'a pas besoin de nous et peut se passer de nos services.
La bienveillance qui commence a le devoir d'aller plus loin.
La politesse est la clef de la bienveillance. La bienveillance, à son tour, enchaîne tous les cœurs.
Je regarde la bienveillance comme une sœur adoptive de la charité.
Le mépris, le dédain, l'aversion me sont malaisés ou inconnus, mais l'indulgence, la pitié, le pardon, le support me sont plus chers et plus doux. J'aime à aimer, à admirer, à respecter, à rendre heureux et par conséquent, dès qu'il n'y a pas obstacle positif, dès que les choses s'y prêtent un peu et que les gens ne s'y refusent pas trop, je reviens volontiers à cet état de bienveillance, sans laquelle on n'éprouve et on ne donne point de paix.
On a des accès de tendresse, de générosité, de bienveillance, comme on a des accès de fièvre ; il est aussi dangereux d'agir dans les uns que dans les autres.
Les sots regagnent auprès des hommes en bienveillance plus qu'ils ne perdent en estime. Sentir qu'on vaut mieux est un plaisir dont on est reconnaissant pour celui qui vous le procure.
L'amitié est une bienveillance réciproque entre deux hommes.
Ôtez l'amour et la bienveillance, tout charme disparaît de la vie.
L'amitié est un accord parfait sur les choses divines et humaines, accompagné de bienveillance et d'amour ; et sans doute, de tous les dons que Dieu a faits aux hommes, le meilleur après la sagesse est l'amitié.
Pour le plus grand nombre des hommes, la faveur est plus douce à exercer que la justice ; en effet, l'une n'est que de droit, tandis que l'autre est de bienveillance : l'une ne conduit qu'à l'estime, tandis que l'autre force à la reconnaissance ; enfin l'une ne prouve que la puissance de la justice, tandis que l'autre atteste le crédit et le pouvoir de celui qui dispense les grâces.
La bienveillance est attirante et féconde ; quand on la voit sourire dans les regards de ceux qui nous approchent, quand on la sent pour ainsi dire respirer autour de soi, alors le cœur s'ouvre, il s'épanche, et l'on devient éloquent pour exprimer la reconnaissance qu'elle inspire.
Les bons sont toujours enclins à la bienveillance, les méchants toujours portés au dénigrement : les uns et les autres voient tout à travers eux-mêmes.
L'espérance produit la bienveillance et la générosité chez les nobles natures ; il n'y a que les cœurs envieux et médiocres qui se resserrent et se ferment à l'approche du bonheur.
La bienveillance tient uniquement à cette loi de sympathie et de sociabilité qui tend à rapprocher tous les êtres sensibles.
Nos relations sociales ne sont merveilleusement secondées que par la bienveillance, la bonté, la générosité, la compassion, l'estime, le respect, la considération, et autres sentiments plus ou moins honorables qui nous distinguent des animaux, et qui sont les plus nobles attributs de la nature humaine.
Les hommes aspireront en vain au bonheur tant qu'ils ne le chercheront pas dans une mutuelle bienveillance.
On peut résister à tout hors à la bienveillance qui est toujours une garde fidèle.
Il est indigne de la part des hommes riches, qui devraient donner l'exemple de la bienveillance, de détourner leur visage du pauvre homme, et de rejeter sa compagnie.
La reconnaissance est un fruit qui ne peut être produit que par l'arbre de la bienveillance.