La reconnaissance est un fruit qui ne peut être produit que par l'arbre de la bienveillance.
Citation de Axel Oxenstiern ; Les réflexions et maximes (1645)
La reconnaissance est un fruit qui ne peut être produit que par l'arbre de la bienveillance.
Heureux qui peut, en liberté, se livrer au doux penchant de la bienveillance !
La bienveillance, de toutes les vertus, il n'en est pas qui ait plus de charmes.
Quand la bienveillance est perdue, le reste ne vaut pas ce qu'il coûte.
Ceux qui ne peuvent croire à la bienveillance n'en ont certainement pas eu eux-mêmes.
On nous fait un grand mystère de la politesse, comme si ce n'était pas dans un cœur honnête qu'il faut en chercher les premières lois. La véritable politesse consiste à marquer de la bienveillance aux hommes ; elle se montre sans peine quand on en a. C'est pour celui qui n'en a pas qu'on est forcé de réduire en art ses apparences. Qu'on nous inspire dans l'éducation l'humanité et la bienfaisance, nous aurons de la politesse ou nous n'en aurons pas besoin.
La bienveillance pour les autres attire leur affection, et la sévérité pour soi commande l'estime.
Politesse n'est pas bienveillance, on peut être désagréable ou méchant sans être impoli.
Quiconque éteint dans l'homme un sentiment de bienveillance le tue partiellement.
La voix de la bienveillance est plus séduisante que celle de la flatterie.
La vanité repousse la bienveillance, la modestie l'attire.
Tout homme ne peut être bienfaisant, mais tout homme doit avoir de la bienveillance.
Avant de corriger, la bienveillance exige, qu'on explique la raison à celui que l'on corrige.
La bienveillance est le désir de faire du bien à celui qui nous inspire de la pitié.
Pour être digne d'aimer une femme, il faut avoir de la bienveillance pour toutes.
L'amour et la passion peuvent s'envoler, mais la bienveillance triomphera toujours.
La bienveillance est le commencement de l'amitié.