L'homme à qui l'on a confié le salut et le soin d'autres hommes, doit lutter contre les vices et leur opposer une ferme résistance ; mais il doit varier le traitement de ces maladies morales, employer des moyens tantôt plus doux, tantôt plus énergiques, et ne recourir aux remèdes extrêmes, que dans le cas d'une absolue nécessité.