Les citations sur le remède
Les 34 citations et proverbes remède.
Il ne faut pas rabâcher trop longtemps sur les choses où il n'y a plus de remède.
La charité, qui est de tous les temps, est le divin remède à tous les troubles de l'esprit.
Il ne suffit pas de rechercher la cause d'un mal, il importe d'en trouver le remède.
Un remède qui est bon pour les uns peut être funeste aux autres, il ne doit par conséquent être employé avec les premiers malades venus.
Les lettres sont le remède aux maux profonds de la vie, elles soulagent le cœur et l'esprit.
Tous les maux ont leur remède, si ce n'est la mort.
L'engouement est une fièvre d'imagination dont l'unique remède est l'expérience amère.
À mal enraciné, remède tard apprêté.
La foule n'est pas le meilleur remède à la solitude.
Laissons le passé, puisqu'il n'y a plus de remède, et tâchons de pourvoir au présent.
On doit sa guérison plus souvent à la force du tempérament qu'à l'effet des remèdes.
Bien des gens prennent des remèdes, non pour guérir des maux qu'ils n'ont pas, mais pour leur attribuer la santé qu'ils ont.
Les remèdes sont toujours plus lents que les maux.
L'homme à qui l'on a confié le salut et le soin d'autres hommes, doit lutter contre les vices et leur opposer une ferme résistance ; mais il doit varier le traitement de ces maladies morales, employer des moyens tantôt plus doux, tantôt plus énergiques, et ne recourir aux remèdes extrêmes, que dans le cas d'une absolue nécessité.
La patience est le remède à toutes les douleurs ; la patience est un port pour toutes les misères.
Plus on diffère de recourir aux remèdes, et plus les plaies du cœur vieillissent, plus elles deviennent incurables.
En France, nous savons cautériser une plaie, mais nous n'y connaissons pas encore de remède au mal que produit une phrase.
Le mal auquel on ne peut remédier, il faut s'efforcer de le prévenir.
Coupons les maux naissants, coupons-les dans le vif ; aux maux invétérés le remède est tardif.
Les progrès de la civilisation amènent la corruption ; la corruption dissout tous les liens sociaux. Quel est donc le remède à d'aussi funestes résultats ? La morale religieuse.
Rien n'entrave une guérison comme de changer sans cesse de remèdes.
Le remède, ainsi que le mal, est dans la nature des choses, nous n'avons qu'à l'y chercher.
Avant d'aller au remède, remontons aux sources du mal.
Il y a des remèdes contre l'amour, mais il n'y en a point contre la haine.
C'est un instinct naturel à tous ceux qui souffrent de chercher dans l'avenir le remède et la consolation du présent.
Le grand remède qui est toujours innocent et toujours d'un usage utile, c'est la sobriété ; c'est la tempérance dans tous les plaisirs ; c'est la tranquillité de l'esprit ; c'est l'exercice du corps.
Les remèdes sont eux-mêmes de véritables maux qui usent la nature, et dont il ne faut se servir que dans les pressants besoins.
Il faut supporter patiemment ce qui n'a point de remèdes.
Les reproches sont des remèdes amers qui ne sont utiles à personne, et qui ne plaisent qu'à ceux qui les donnent.
La médecine de l'âme a beaucoup de ressemblance avec celle du corps : ni l'une ni l'autre ne peut garantir l'efficacité de ses remèdes, ni préserver des rechutes.