Les femmes sont souvent de leur pudeur et de leur modestie ce que sont les enfants de leurs habits. Ils prennent garde de ne pas les salir les premiers jours, et pendant qu'ils sont bien propres et tout neufs. Y font-ils une tache, ils en sont chagrins, et ils en évitent une seconde, mais avec moins d'attention. Y en a-t-il deux ? La troisième ne leur fait plus de peine, et ils se roulent ensuite partout, sans songer à être propres. Concluez que les jolies femmes sont d'ordinaire des enfants gâtés.