Les citations sur la patrie
Les 38 citations et proverbes patrie.
Lorsqu'on attaque la patrie, tout citoyen devient soldat.
Écris dans ta patrie ce qu'il te plaît : c'est là que l'amour t'enchaîne, c'est là ton univers.
La patrie, c'est le pays où nous nous faisons comprendre et où nous comprenons à demi-mot ; où aucune des incidentes de la conversation ne nous échappe. Le pays où nous sommes le moins gênés pour réaliser tout le bien et tout le mal qui sont en nous.
Il est des temps où les nations elles connaissent aussi le désespoir, c'est quand le peuple n'aime plus son âme, qui est la patrie.
Tant que la vie fera palpiter mon cœur, il n'oubliera pas ma patrie délaissée, plus chère et plus belle dans ses douleurs, sa tristesse et ses orages, que le reste du monde aux heures où brille le soleil !
Aujourd'hui, la patrie est devenue l'Hexagone. On ne meurt pas pour une figure géométrique.
Ma patrie, c'est la langue dans laquelle j'écris.
Chaque patrie a son patriotisme qui se formule en paroles de haine et de mépris contre les étrangers. Parcourez tous les pays du monde, et écoutez causer ces gens à table au milieu des bouteilles : En France, un Français vaut quatre Allemands, quatre Russes, quatre Hollandais, quatre Anglais, etc… En Allemagne, un Allemand vaut quatre Français, quatre Anglais, quatre Hollandais, quatre Russes, etc… En Angleterre, un Anglais vaut quatre Russes, quatre Français, quatre Allemands, quatre Hollandais, etc… En Hollande, un Hollandais vaut quatre Russes, quatre Anglais, quatre Allemands, quatre Français, etc… En Russie, un Russe vaut quatre Allemands, quatre Français, quatre Anglais, quatre Hollandais !
Si l'amour de la patrie est l'amour des hommes qui habitent le même pays que nous, d'où vient qu'au milieu de la patrie, quelle qu'elle soit, il y a tous les jours des vexations, des oppressions, des duels, des vols, des empoisonnements, des adultères, des assassinats, des incendies, des emprisonnements, des viols ?
On ne peut admirer le patriotisme dans un pays sans au moins le tolérer dans les autres.
Après le droit à la famille, le droit à la patrie est le premier et le plus inviolable des droits de l'homme.
Refuser de servir la patrie en péril, c'est, sur le sol natal, se vouer à l'exil.
Le mot patrie est un mot vide et creux, la patrie est partout où nous vivons heureux.
Dans notre malheureuse patrie, personne ne veut plus obéir, personne ne sait plus commander.
La patrie est peut-être comme la famille, on n'en sent bien le prix que lorsqu'on n'en a plus.
L'idée de la patrie, c'est-à-dire l'obligation où l'on est de vivre sur un coin de terre marqué en rouge ou en bleu sur la carte, et de détester les autres coins, en vert ou en noir, m'a paru toujours étroite, bornée, et d'une stupidité féroce. Je suis le frère en Dieu de tout ce qui vit, de la girafe et du crocodile comme de l'homme, et le concitoyen de tout ce qui habite le grand hôtel garni de l'Univers.
Il fut un temps où le patriotisme s'étendait à la cité, puis le sentiment peu à peu s'est élargi avec le territoire. Maintenant l'idée de Patrie est, Dieu merci, à peu près morte et on en est au socialisme, à l'humanitarisme (si l'on peut s'exprimer ainsi). Je crois que plus tard on reconnaîtra que l'amour de l'humanité est quelque chose d'aussi piètre que l'amour de Dieu, on aimera le juste en soi, le beau pour le beau ; le comble de la civilisation sera de n'avoir besoin d'aucun bon sentiment. Ce qui s'appelle les sacrifices seront inutiles, mais il faudra pourtant toujours un peu de gendarmes !
Je crois à la race plus qu'à l'éducation, on emporte, quoi qu'en ait dit Danton, la patrie à la semelle de ses talons et l'on porte au cœur, sans le savoir, la poussière de ses ancêtres morts.
Quant à l'idée de la patrie, c'est-à-dire d'une certaine portion de terrain dessinée sur la carte et séparée des autres par une ligne rouge ou bleue, non, la patrie est pour moi le pays que j'aime, c'est-à-dire celui que je rêve, celui où je me trouve bien.
Le patriotisme n'est plus que le sentiment de son bien-être, et la crainte de le voir troubler.
Ce que le cœur des jeunes gens renferme de plus beau, un enthousiasme pur pour la vertu et la patrie, une volonté brûlante de vivre pour elles.
Si petite que soit la patrie, elle occupe la plus grande place dans un cœur bien fait.
Il y a trois choses qu'un honnête homme ne doit jamais permettre que l'on offense réellement devant lui, quoi qu'il puisse en penser : c'est sa patrie, sa religion et sa famille.
Donner sa vie pour la patrie ce n'est pas subir la mort, c'est conquérir l'immortalité.
La vie est courte, la gloire est éternelle. Puisque nous sommes tous destinés à la mort, souhaitons que notre vie soit plutôt sacrifiée à la patrie qu'enlevée par la nature.
L'amour de la patrie doit aller jusqu'à braver, pour la servir, l'ignominie ainsi que la mort.
La patrie, c'est l'azur de notre ciel, c'est le doux soleil qui nous éclaire, le beau fleuve qui nous arrose, la forêt qui nous ombrage et les terres fertiles qui s'étendent sous nos pas.
L'amour de la patrie est la première vertu de l'homme civilisé.
La patrie, c'est ce qui parle notre langue, c'est ce qui fait battre nos cœurs, c'est l'unité de notre territoire et de notre indépendance, c'est la gloire de nos pères, c'est la communauté du nom français, c'est la grandeur de la liberté.
Par de doux souvenirs sans cesse retracée, la patrie à jamais vit dans notre pensée.
Oui, j'ai une patrie : la langue française.
La patrie, c'est tous nos concitoyens, grands ou petits, riches ou pauvres. La patrie, c'est la nation que vous devez aimer, honorer, servir et défendre de toutes les facultés de votre intelligence, de toutes les forces de vos bras, de toute l'énergie et de tout l'amour de votre âme.
Le courage est la première vertu de tous les hommes qui ont une patrie.
Celui qui aime ardemment la gloire de sa patrie porte sur son front le sceau du commandement.
L'homme se doit à la patrie, la femme au bonheur d'un seul homme.
Un homme de courage trouve sa patrie partout.
Le bon gouvernement est celui où les citoyens sont élevés dans le respect des lois, dans l'amour de la patrie, et du genre humain qui est la grande patrie.
De toutes les sociétés, la plus chère est celle qui lie chacun de nous à la patrie. Sans doute nous aimons aussi nos parents, nos enfants, nos proches et nos amis, mais l'amour de la patrie rassemble et comprend toutes ces affections ; et quel est l'homme de bien qui hésiterait à mourir pour la patrie, si sa mort lui devait être utile ?