Les citations sur lire.
Les 43 citations et proverbes lire :
Un visage est un livre où l'on peut lire d’étranges choses.
Un homme qui sait vraiment lire lit des yeux et non des lèvres.
Quand on lit trop vite ou trop doucement, on n'entend rien.
Il est bon de lire Virgile et Cicéron, pour apprendre d'eux à orner son langage et son style.
La vie est brève au regard de la quantité de livres qu'il y a à lire !
Lire, c'est boire et manger ; l'esprit qui ne lit pas maigrit comme le corps qui ne mange pas.
Il est ennuyeux d'apprendre à lire, mais il est très amusant de lire ; il en est ainsi de toutes les choses qu'on apprend, il n'y a jamais que les commencements d'ennuyeux.
Les grands liseurs se dispensent facilement de beaucoup penser, les grands penseurs de beaucoup lire.
On croit savoir lire en soi-même, on sait à peine épeler.
En lisant pour la première fois un bon livre, on doit éprouver le même plaisir que si l'on faisait un nouvel ami : relire un livre qu'on a lu, c'est un ancien ami qu'on revoit.
On voit tous les jours des gens qui ne lisent que pour se passionner pour les premières pages d'un livre et ne pouvoir le terminer sans ennui, même si tout au long de l'ouvrage les moyens mis en œuvre pour charmer le lecteur ne faiblissent pas un instant.
Maintenant, il faut lire entre les lignes du téléphone.
Lisez les grands maîtres en tâchant de saisir leur procédé, de vous rapprocher de leur âme, et vous sortirez de cette étude avec des éblouissements qui vous rendront joyeux. Vous serez comme Moïse en descendant du Sinaï. Il avait des rayons autour de la face, pour avoir contemplé Dieu.
Quand tout le monde pourra lire le Petit Journal et le Figaro, on ne lira pas autre chose, puisque le bourgeois, le monsieur riche ne lit rien de plus. La presse est une école d'abrutissement, parce qu'elle dispense de penser. Le premier remède serait d'en finir avec le suffrage universel, la honte de l'esprit humain.
La bibliothèque d'un écrivain doit se composer de cinq à six livres, sources qu'il faut relire tous les jours. Quant aux autres, il est bon de les connaître et puis c'est tout. Mais c'est qu'il y a tant de manières différentes de lire, et cela demande tant d'esprit que de bien lire !
Il faut lire, méditer beaucoup, toujours penser au style et écrire le moins qu'on peut, uniquement pour calmer l'irritation de l'idée qui demande à prendre une forme et qui se retourne en nous jusqu'à ce que nous lui en ayons trouvé une exacte, précise, adéquate à elle-même.
Ma littérature, c'est comme des lettres à moi-même que je vous permettrais de lire.
Il faut autant de temps pour lire un livre composé en trente ans qu'un livre composé en trente jours.
Semblable au papier blanc où sont tracés avec une encre sympathique des caractères que le feu seul rend visibles, notre cœur ne se laisse lire que réchauffé par l'amitié.
La facilité de lire les mauvaises écritures est comme une faculté à part. Ce n'est pas seulement par le regard qu'on lit, mais par l'esprit. Les moyens qu'on a de concevoir clairement ses propres pensées donnent, sans que l'on s’en aperçoive, la facilité de saisir celles des autres à travers les plus mauvais caractères d'écriture.
Comment n'aime-t-on pas mieux lire les bons ouvrages des autres, que d'en faire de mauvais ?
Je ne lis plus pour apprendre, j'ai perdu la mémoire, mais je lis pour tuer le temps.
L'homme du monde lit quinze cents volumes dans sa vie, sans être un homme instruit ; l'homme de lettres en étudie la dixième partie, et devient un homme précieux. Cette différence vient de ce que l'un ne fait qu'aborder les idées; qu'il ne conserve de ses lectures, peu choisies, sans suite , et souvent futiles, que de quoi alimenter les conversations du jour ; il perd en solidité et en profondeur, ce qu'il acquiert en superficie; tandis que l'autre , tout entier à ses études, ne lit que des ouvrages essentiels, et qui, pour ainsi dire, se lient au même système, se complètent; ne s'attache qu'aux idées mères, les recueille, les médite, les développe, les lie entre elles, et en forme une masse d'idées et de connaissances, qu'il a toujours à sa disposition, et qu'il peut appliquer à tout ce qu'il veut traiter.
Ne pas savoir lire et écrire, c'est comme être aveugle.
En lisant les ouvrages des grands hommes, j'apprends à être petit, c'est-à-dire à bien reconnaître ma propre petitesse.
Apprendre à lire, c'est allumer du feu ; toute syllabe épelée étincelle.
Aimer, c'est savoir lire toutes les phrases de l'être aimé qui sont dans son cœur.
Les livres qui m'ont le moins plu et que par suite j'ai cessé depuis longtemps de lire ont toujours été ceux que l'on qualifiait de divertissants et de propres à faire passer le temps.
Celui qui lit un livre - fût-il le plus attrayant et le plus beau du monde - sans autre fin que le plaisir de lire, commence à s'ennuyer, voire à se fâcher dès la deuxième page.
J'aime autant lire une comédie que la voir au théâtre ; je personnifie très bien les lieux et les gens, et tout cela reste dans ma mémoire à l'égal de choses naturelles ou vivantes.