Les citations sur le juge.
Les 39 citations et proverbes juge.
Fuir le juge, c'est avouer son crime.
On a toujours raison au jugement des sots quand on les prend pour juges.
Pour tes amis avant d'être un juge inflexible, songe que pas plus qu'eux tu n'es infaillible.
Il n'est pas permis au plus équitable homme du monde d'être juge en sa cause.
Pour vos amis avant d'être un juge inflexible, songez que pas plus qu'eux vous n'êtes infaillible.
Sage est le juge qui écoute et tard juge.
Un juge inique est pire qu'un bourreau.
La postérité est un juge impartial.
L'intérêt est un juge inexorable.
Le caissier est le meilleur juge d'une pièce de théâtre.
Rappelle-toi toujours que celui qui a en soi un juge intérieur et agit ou décide d'après sa conscience, est déjà assez blessant pour les autres.
Le peuple est le juge suprême de la façon dont les gouvernants remplissent leur mission puisqu'il est la personne qui leur a donné le pouvoir et qui garde à ce titre la faculté de les révoquer.
Soyez juge en votre propre cause.
La conscience du juré, celle des magistrats sont des sanctuaires où nul n'a le droit de s'introduire, car essayer même d'y pénétrer, c'est porter atteinte à l'inviolabilité de la première des libertés de l'homme : la liberté de conscience. Le juré n'a qu'un juge, le juge n'a qu'un juré : c'est lui-même !
Nombre de magistrats, en quittant les affaires publiques, ne laissent d'autre vide que celui de la caisse.
Les bons magistrats vivent pour servir leur pays ; les mauvais le servent pour vivre.
L'esprit d'observation nous élève tellement au-dessus des autres hommes qu'il nous rend comme leurs juges naturels.
Douter de la justice de quelqu'un est une injure ; compter d'avance sur sa justice est un hommage. En effet rien ne lie un être délicat comme la confiance ; rien ne le révolte comme une méfiance qui, vis-à-vis de lui, est toujours une injustice et une offense. C'est pour cela que les sollicitations des plaideurs sont des outrages aux yeux des juges dignes du nom de magistrats.
Pour équitablement apprécier le délit de l'indigent, le juge doit, pour un instant, oublier le bien-être dont il jouit, afin de s'identifier autant que possible avec la situation lamentable de l'être abandonné de tous.
Le juge n'a pas à rechercher si les lois sont justes, il n'a qu'à les appliquer justement.
Les juges offrent aux accusés plus de garanties que les jurés. Le magistrat ne se lie qu'aux lois de la raison, tandis que le juré se laisse entraîner par les ondes du sentiment.
La justice doit avoir dans le juge un serviteur plutôt qu'un interprète ; le pouvoir discrétionnaire n'est pas une prérogative, c'est une plus grande responsabilité.
La justice exige plus encore du juge que du législateur ; si l'un fait la loi, c'est l'autre qui l'applique.
Un bon juge est celui qui a acquis une connaissance de l'injustice.
Le juge doit avoir le livre de la loi à la main et son esprit dans le cœur.
Chacun doit être le magistrat, le roi, le juge de soi-même.
Dans une affaire où les juges se croient regardés, il est plus sûr de récuser son ami que son ennemi. Le premier peut se faire une gloire de vous condamner, et le second un point d'honneur de vous être favorable.
Quand les lois sont obscures, les juges se trouvent naturellement au-dessus d'elles, en les interprétant comme ils veulent. Il y a dans chaque application de la loi une partie imprévue abandonnée à leur sagacité.
Ne cherchez point à devenir juge, si vous n'avez assez de force pour rompre l'injustice.
Dites-moi combien vous possédez de pièces d'or, et je vous dirai combien vous avez d'amis, et combien de crimes vous pouvez commettre impunément, sans être inquiété nullement par les juges.