Les citations sur la faiblesse.
Les 79 citations et proverbes faiblesse.
Rester sur la défensive peut être une marque de faiblesse.
Renoncer, c'est faire preuve de faiblesse.
Plus on vieillit, plus on se rend compte de la faiblesse de la personne humaine.
Nos premières faiblesses nous donnent des remords ; les secondes les supportent ; les dernières les méprisent.
À l'abus de la force a succédé l'abus de la faiblesse.
À l'école, la faiblesse est toujours considérée comme provenant de la paresse, et non de l'incapacité.
Certains caractères font souvent de la faiblesse une loi. Des hommes expérimentés ont dit : « La prudence derrière laquelle se cache la peur est indomptable. » Les hommes faibles ont souvent des idées révolutionnaires : Ils s'imaginent qu'ils se trouveraient bien de n'être pas gouvernés, et ne sentent pas qu'ils ne sauraient gouverner ni eux-mêmes ni les autres.
L'ingratitude est toujours une sorte de faiblesse : Je n'ai jamais vu que les hommes capables se soient montrés ingrats.
Sachez dissimuler les faiblesses et les défauts de vos amis si vous voulez les conserver.
L'esprit a ses erreurs, la volonté ses inclinations déréglées, la mémoire ses faiblesses.
La faiblesse de caractère est la plus grande des faiblesses.
Tu « veux » être fort ? Ce désir trahit ton incurable faiblesse !
La conscience de sa propre faiblesse ne fait que l'augmenter.
Il y a des choses que personne au monde ne fait mieux que moi : Me pardonner mes faiblesses, par exemple.
Il faut connaître ses faiblesses mais ne jamais s'en vanter.
On a beau être bey et avoir l'âme aussi tendre qu'un caillou, on a ses faiblesses, ses endroits vulnérables.
On a atteint le plus beau de la confiance quand on peut avouer ses faiblesses sans crainte de se dévaloriser.
Délicieux moment, celui où les femmes tentent d'abuser de leur faiblesse.
Et si ce qui nous arrive « par la force des choses » n'était que le résultat de « notre » faiblesse ?
Les hommes ! ils sont ainsi faits pour la plupart ; à mesure qu'on leur montre plus d'abandon, plus de faiblesse, ils se refroidissent et s'éloignent, sans considérer que c'est pour eux que l'on s'oublie.
La faiblesse est sur le chemin du crime.
On n'est pas toujours l'homme de sa propre devise : faiblesse comme une autre.
Je plains la faiblesse comme je plains un orphelin.
La faiblesse et la peur se désespèrent aisément.
La faiblesse, dans beaucoup de circonstances, prend souvent des résolutions plus violentes que ne le ferait l'emportement, qui, du moins, presque toujours se dissipe après s'être exhalé.
Lanterner, remettre, baguenauder, muser est aussi une manière d'éluder le devoir. C'est le stratagème de l'indolence. C'est une ruse de la faiblesse.
Se corriger de ses faiblesses, c'est prouver sa force.
L'excès de la force tourne contre elle et la change en faiblesse, c'est une loi qu'il suffit de laisser s'accomplir. Elle est aussi vraie et aussi infaillible appliquée aux hommes et aux peuples qu'aux choses et aux machines.
S'exagérer sa force, c'est trahir sa faiblesse.
On commence par profiter de la faiblesse d'un homme trop bon, quitte à s'en moquer après.
Par la stabilité politique, on écarte toute faiblesse du pouvoir.
Ce qui caractérise le mieux la faiblesse, c'est l'extrême mobilité avec laquelle on la voit passer successivement de la peur à l'espérance et de l'espoir au découragement.
Faiblesse et malheur, voilà toute l'histoire des hommes.
La faiblesse de l'homme est si grande, ses facultés sont si bornées, et il est tellement, sans s'en apercevoir, dans la dépendance des impressions qu'il reçoit, que quand le hasard a fait naître dans son esprit une prévention contre quelqu'un, et que le temps y a en quelque sorte accoutumé ses organes, dût la fausseté lui en être démontrée jusqu'à l'évidence, dût-il reconnaître son tort, dût-il même se le reprocher, il ne peut, quoi qu'il fasse, effacer entièrement cette prévention de son esprit, ni se retrouver avec celui qui en a été l'objet, sans éprouver à l'instant une sorte de bouleversement, ou au moins de répugnance que la réflexion même à peine à lui faire surmonter.
Rien ne nous prouve mieux notre faiblesse que la pleine et entière conviction où nous sommes quelquefois de ne jamais éprouver de sentiments qui nous saisissent tout à coup, et sans qu'il nous soit possible de trouver en nous rien à y opposer.
Les hommes dissimulent par faiblesse et par la crainte d'être méprisés, leurs plus chères, leurs plus constantes et quelquefois leurs plus vertueuses inclinations.
L'homme a bien tort d'ambitionner la grandeur, car elle ne sert le plus souvent qu'à mieux faire ressortir sa faiblesse et son infirmité.
Rien ne constate mieux notre faiblesse et notre néant que le contraste de nos agitations, de notre fragilité, de nos bouleversements au milieu de l'ordre immuable et imposant de la nature.
Rien ne ressemble quelquefois à la sensibilité de l'homme bon, comme les faiblesses de l'homme méchant.
Les sots recueillent plus d'avantages de leur faiblesse que les gens d'esprit n'en obtiennent de leur force. On regarde sans l'aider un grand homme luttant contre le sort, et l'on commandite un épicier qui fera faillite. Savez-vous pourquoi ? On se croit supérieur en protégeant un imbécile, et l'on est fâché de n'être que l'égal d'un homme de génie.