Les citations sur commander.
Les 50 citations et proverbes commander :
Si un commandant ne trouve pas en lui les qualités nécessaires pour se faire aimer de ses subordonnés, il faut qu'il ait recours à tous les moyens pour se faire craindre.
La jeunesse est faite pour obéir, et la vieillesse pour commander.
La vertu ne se commande pas, on est vertueux ou on ne l'est pas.
L'orgueil des hommes se flatte de discuter et de traiter des intérêts publics, d'examiner et de critiquer ceux qui les dirigent ; et le vulgaire, à tant parler du commandement, se croit capable et digne de commander.
Qui commande aux autres se met en position de Dieu.
Quand la nécessité commande, il faut se rendre : si vous ne lui donnez, vous la forcez à prendre.
Tout le monde obéit et sert sans répugnance, quand celui qui commande inspire confiance.
Un père a le droit de commander, de décommander, d'arranger, de déranger, de défaire et de faire tout ce qui lui plaît.
Dans notre malheureuse patrie, personne ne veut plus obéir, personne ne sait plus commander.
Les affections ne se commandent pas, ce sont elles qui nous conduisent.
L'essentiel dans la vie est de savoir se commander.
Pour apprendre à commander, il faut apprendre avant tout à obéir.
Il y a des choses qu'il ne faut pas voir de près : assister à la toilette d'une femme qu'on admire, aux efforts d'un talent qu'on apprécie... Ah ! comme il est bon que la cuisine soit loin de la salle à manger !
La cloche obéît, le sonneur commande.
Commander à ses sens, c'est d'un grand capitaine.
La femme sait souvent obéir dans les petites choses pour commander dans les grandes.
Pourquoi obéir quand on peut commander ?
La force de celui qui commande gît dans la force de celui qui obéit.
Une âme forte commande à sa machine et n'en fait pas une idole.
L'amour ne se commande pas, il s'inspire.
Commander à son semblable, aussi bien que lui obéir, c'est s’amoindrir : car c'est donner la mesure de la petitesse humaine. Ne céder qu'à la persuasion ou qu'à l'évidence, telle est la loi dérivant de la nature de l'homme.
Le premier effort de l'instinct est de ne vouloir obéir à personne ; le dernier effort de la raison est de ne vouloir commander qu'à soi-même.
Ce qui rend les hommes si dépendants de leurs semblables, c'est le désir même de leur commander.
Il y a naturellement dans le cœur de tous les hommes quelque chose de mou, de lâche, de rampant ; s'il n'y avait pas autre chose, quoi de plus hideux que l'homme ! Mais dans une région plus élevée est la raison, maîtresse et reine, et son pouvoir est grand. Ayons soin que la raison commande à cette partie de nous-mêmes qui doit obéir, et qu'elle lui commande comme le maître à l'esclave, le général au soldat, le père à l'enfant.
Le plus difficile pour celui qui commande n'est pas de concevoir de grands desseins, mais de les faire exécuter.
On n'est pas heureux si, pour être quelque chose, il faut obéir ou commander.
Nul n'est libre qui ne se commande à lui-même.
Le commandement flatte l'amour-propre ; l'obéissance l'humilie.
Il est beau d'être esclave de son devoir, c'est ainsi qu'on se commande à soi-même, et un pareil esclave est toujours un bon maître.
Si du commandement on peut s'enorgueillir, la gloire est non moins grande à savoir obéir.