Les citations sur la règle.
Les 35 citations et proverbes règle.
L'esprit élude les obstacles que les règles lui opposent.
Ce qui empêche tant de gens de parvenir, c'est de ne pouvoir se soumettre à la règle d'être sans humeur et sans honneur.
L'exemple à plus d'influence que tous les préceptes et que toutes les règles.
La carrière est aisée quand la règle conduit.
Voyez vos imperfections avec les mêmes yeux que vous voyez celles des autres, ne vous relâchez point sur cette règle, elle vous accoutumera à l'équité.
Nous autres les Surdoués nous savons être à l'écoute silencieuse des autres, cela nous laisse le temps de penser à autre chose, à changer de stratégie par exemple, car, quel que soit le jeu, si la réussite n'est pas au rendez-vous, on change de jeu ou alors on change les règles.
Je prends la vie comme elle est, c'est un jeu qui a ses règles, très gênantes, j'en conviens, souvent dures à observer, mais je veux jouer dans les règles. Je me fais peu d'illusions sur le monde, je ne crois guère à ses vertus ; moins j'y crois, plus il m'en coûterait de rougir devant lui.
Il n'y a d'exceptions valables que celles qui ne confirment pas la règle.
Belles exceptions ! vous nous rendez plus inexcusable encore la rigidité de la règle.
La vérité, la justice, l'intégrité, telle est la règle invariable de l'honnête homme.
En matière de morale, tous les hommes demandent la règle pour tous, et les exceptions pour eux seuls.
Chaque homme trouvera la règle de sa conduite dans son propre cœur, si son cœur est simple. La nature y a mis cette loi : Ne faites pas aux autres ce que vous ne voudriez pas que Ies autres vous fissent.
La grandeur, soit de génie, soit de position, ne saurait affranchir l'homme de la règle commune ; il n'est point de grandeur devant Dieu, et c'est Dieu qui règle tout.
L'art de négocier est d'autant plus difficile qu'il n'a pas de règles, et que tout le monde s'y croit propre.
Le difficile n'est pas d'avoir des règles de conduite, mais de pouvoir les suivre ; attendu que pour cela il faut avoir l'esprit assez juste pour faire l'application des principes, aux situations dans lesquelles on peut se trouver, et assez de caractère pour agir toujours d'une manière qui y soit conséquente.
Il n'y a que l'homme sage qui médite sans cesse sur ce que les hommes font en bien et en mal, pour en tirer des règles de conduite.
Un homme vraiment vertueux préfère le devoir et la règle qui le condamnent, aux applaudissements de l'univers qui l'approuve.
Le cœur de la plupart des hommes est si corrompu, si éloigné des règles et du devoir, que le plus léger contretemps, lorsqu'on s'efforce de les y rappeler, devient pour eux une raison de s'en éloigner encore davantage.
La plupart des hommes n'ont qu'une ou deux règles, vraies ou fausses, qui servent de base à tous leurs raisonnements : Ôtez-leur ces maximes, et ils ne savent plus où ils en sont ; ils ont perdu leur compas et leur boussole.
Il n'y a pas de société sans règle, sans frein, sans limitation de la liberté individuelle.
Tel est le malheur des guerres d'opinions, soit politiques, soit religieuses : chacun, voyant la vertu de son côté et le crime dans le camp ennemi, croit tous les moyens légitimes pour arriver à son but, et enfreint sans scrupule les règles de la morale et de la justice.
Gardons-nous bien de faire une proposition de ce qui est un précepte, une règle, un commandement.
Il y a, dans la règle, un repos qui attache à toute autorité qui établit l'ordre, la reconnaissance de ceux qu'elle y soumet. L'homme aime naturellement son guide, celui qui l'instruit, lui commande et le dresse.
Non seulement il n'y a pas de vertu où il n'y a pas de règle et de loi, mais il n'y a pas même de plaisir. Les jeux des enfants eux-mêmes ont des lois, et n'existeraient pas sans elles ; ces règles sont toujours gênantes, et cependant, plus on les observe strictement, plus on s'amuse.
La règle sert de boussole, et les lois de compas.
Tout donner à la règle pétrifie et dessèche, tout laisser au hasard disperse et affaiblit.
Règle : chercher d'abord ce qu'il y a de valable dans chaque homme.
Règles sur la dispute. On s'avise quelquefois de vouloir donner des règles et des espèces de lois à la dispute. On dit que la première est de définir les termes, de bien poser ensuite l'état de la question, etc. ; et moi je dis, que la première et l'unique loi d'une dispute, c'est de la finir. L'observation de toutes les règles est à peu près impossible ; c'est ordonner à la passion d'être la raison.
Tout est un joug pesant à quiconque veut vivre sans joug et sans règle. Il faut au juste moins de plaisirs, et ses jours sont plus heureux et plus tranquilles. Tout est innocent pour un cœur innocent. Les plaisirs doux et permis qu'offre la nature, fades et ennuyeux pour l'homme dissolu, conservent tout leur agrément pour l'homme de bien. Il n'y a même que les plaisirs innocents qui laissent une joie pure dans l'âme ; tout ce qui la souille l'attriste et la noircit.
Si les sensations sont la règle des jugements, un coup de vent, un nuage, changent la règle.