Les citations sur le prochain.

L'égoïste est celui qui panse son cheval plutôt qu'à sa famille et à son prochain.

Ce qui est le plus agréable à Dieu est de nous voir faire du bien à notre prochain.

Médire de son prochain, c'est être lâche.

Avant de vouloir dominer son prochain, il faut savoir se dominer soi-même.

Être moral, c'est non seulement se respecter soi-même dans son comportement, mais c'est se montrer de même envers son prochain.

S'enrichir vite, même au détriment de son prochain, voilà ce qui caractérise de nos jours, le comportement des hommes.

Les défauts généralement qu'on signale avec fureur et mépris dans le prochain sont justement ceux dont on n'est pas exempt.

Aimer mon prochain comme moi-même serait lui faire un trop beau cadeau.

Je n'ai jamais convoité ni la maison de mon prochain, ni son serviteur, ni son bœuf, ni son âne. La seule partie du bien de mon prochain qu'il me soit arrivé quelquefois de convoiter, c'est sa femme !

C'est un beau devoir à remplir que de vivre en paix avec son prochain, de ne jamais lui donner lieu à quereller, mais de se montrer constamment bienveillant avec lui.

Nous avons toujours assez d'équité pour blâmer les travers du prochain, et suffisamment d'énergie pour résister aux tentations qu'il éprouve.

Nous nous figurons toujours qu'il nous sera aussi facile de celer nos défauts au prochain qu'impossible à lui de nous cacher les siens.

C'est étonnant comme rien ne nous dispose à la bienveillance vis-à-vis du prochain autant que de savoir qu'il n'a pas besoin de nous et peut se passer de nos services.

La religion, qui nous fait un devoir de l'amour du prochain, n'exige pas toutefois que nous le sachions mieux aimer que nous ne savons nous aimer nous-mêmes.

Nous ne saurions guère nous résoudre à expliquer la conduite du prochain par d'autres mobiles que ceux auxquels nous obéissons nous-mêmes.

Quel est le vrai but de la vie ? S'aimer les uns les autres, s'aider de tout son cœur et de toute sa force dans la mêlée de l'existence et dans la lutte contre le mal, la maladie, la douleur, le péché ; ainsi vivre pour le prochain en Dieu, ce qui est mieux encore que vivre pour Dieu dans le prochain.

L'amour du prochain est le dernier en date de nos amours.

Celui qui détruit la joie de son prochain est indigne d'en goûter aucune lui-même.

Il faudrait pouvoir oublier le mal qu'on entend dire du prochain, ou se souvenir de le taire.

Au bonheur du prochain ne porte pas envie, et ne vas pas divulguer ce que l'on te confie.

Un roseau déjà faible est encore plus faible en le brisant. Loin de chercher à nuire à votre prochain, prenez garde qu'en passant vous ne marchiez sur lui, et n'acheviez de le rompre.

Sois juste, aime et sers ton prochain, afin que les autres soient heureux, mais afin que tu sois heureux toi-même, et que tu vives longuement.

On dit du mal de son prochain aux rois, quand ce ne serait que pour les amuser.

Il faut savoir ne jamais refuser de venir en aide à son prochain.

Veux-tu mériter l'estime générale ? Ne parle jamais mal de ton prochain, fuis la malice, hais la tromperie, pense et agis avec probité.

C'est par ces jugements hasardés que l'on fait tort à son prochain.

Pour mordre le prochain, une vieille bouche édentée de dévote vaut mieux que les bonnes dents de la belle jeunesse.

Il importe peu que vous aimiez ou non votre prochain. Mais ne recherchez pas son amour. D'abord, parce que celui qui vous donne son amour vous prend votre liberté. Ensuite, parce que chercher à plaire est la pente la plus glissante pour piquer droit vers le plus bas niveau.