Les citations sur la mère.
Les 47 citations et proverbes mère :
C'est pour mieux vous guider sur la route éphémère, enfants, que le Seigneur vous dota d'une mère.
La femme nous apprend, jeune amante, l'honneur ; mère, le sentiment ; épouse, le bonheur.
L'avenir d'un enfant, disait Napoléon, est toujours l'ouvrage de sa mère. Et le grand homme se plaisait à répéter qu'il devait à la sienne de s'être élevé si haut.
Les premiers saints que les enfants adorent sont ceux de leur mère.
Heureux l'homme qui peut serrer dans ses bras une mère qui répond à ses caresses, et dont la vieillesse adorée n'offre aux yeux du fils qui la contemple, que l'image des vertus, et le souvenir attendrissant des bienfaits !
La mère n'a pas de sexe dans la pensée de l'homme, elle y est d'ordre divin.
Il y a eu entre la mère et l'enfant une complicité d'organes et de chairs, une vie l'un dans l'autre qui forgent un lien que rien ne peut plus rompre, même la mort.
L'enfant n'a pas de meilleure amie que sa mère.
Une mère qui parle enfant à une autre mère se considère comme son égale. L'amour maternel semble devoir mettre, au moins momentanément, toutes les femmes au même niveau, puisqu'il n'y a pas, suivant les différentes classes, différentes manières d'engendrer et d'aimer ses enfants. C'est là surtout que la nature implacable supprime clairement les hiérarchies sociales, en astreignant toutes les génératrices aux mêmes moyens, aux mêmes dangers, aux mêmes devoirs.
Le cœur d'une mère correspond directement avec le cœur de son fils, comme s'il n'en pouvait jamais être complètement séparé et comme si tous deux battaient à côté l'un de l'autre.
Ce que j'aime dans ma mère, c'est un souvenir qu'elle évoque par quelques gestes, une image à peu près effacée d'elle-même. Elle a été plusieurs femmes. Quand elle mourra, qui aurai-je perdu ?
Une mère c'est le cœur inexplorable et doux, blanc du côté sacré, noir du côté jaloux.
Une mère lit dans les yeux de son enfant avant même qu'il sache s'exprimer.
La plupart des femmes jugent leur mari ou leur amant. Il en est fort peu qui oseraient juger leur mère.
Tu peux juger Dieu, Raphaël, Machiavel ou Shakespeare ; c'est de la critique. Juges-tu tes père et mère ? C'est un blasphème.
Le travail des mères est de protéger les enfants de la noire humeur des pères.
Le bonheur qu'une mère goûte se multiplie et s'étend autour d'elle.
Une mère n'a pas seulement des enfants à élever, elle a une maison à gouverner. Elle répand sa sensibilité autour d'elle, elle l'emploie à faire des heureux ; car son cœur sensible est dans un rapport de sympathie avec tout ce qui l'entoure ; son cœur devine les besoins, la situation, les désirs secrets de tous les êtres qui l'approchent.
Ma mère, c'est pour moi une légende. Il me semble que je n'étais pas né quand je l'ai connue. Je me souviens qu'elle me prenait souvent sur ses genoux et qu'elle me couvrait de baisers. De telles délices ne sont pas de ce monde ; j'ai dû les goûter dans quelque étoile lointaine où les cœurs sont moins durs qu'ici-bas, et que j'ai habité quelque temps, séjour de paix et d'innocence.
Qui a perdu sa mère en bas-âge et n'a pas trouvé de bonne heure l'épouse idéale et unique, cherche en vain la paix dans la tendresse.
Quand elles n'ont rien d'autre à faire les femmes se contentent de ressembler à leur mère.
Un bon père et une bonne mère sont nos meilleurs amis, et les seuls qui ne puissent jamais changer pour nous.
Deux bonheurs qu'on oublie trop : Être le père de ses enfants, et avoir eu une mère respectable.
Pour leur en donner plus de regrets la nature a voulu que les fautes des mères se payassent sur leurs enfants.
Une mère coquette défleurit la maternité.
Des petits poulets autour de leur mère, c'est joli à voir comme une branche chargée de fruits.
Une maîtresse est ce qu'on aime le plus ; une femme, ce qu'on aime le mieux ; une mère, ce qu'on aime toujours.
Le premier-né d'une jeune mère résume le monde pour sa tendresse ; il absorbe toutes ses joies et blanchit tous ses deuils.
Le souvenir d'une mère chérie devient comme l'ombre de toutes nos actions, il les précède ou les suit.
Le souvenir d'une mère est l'écrin contenant les plus purs joyaux de la mémoire du vieillard.