Les citations sur la lecture.
Les 26 citations et proverbes lecture.
Je voudrais savoir lire dans le cœur des femmes, ce serait ma lecture favorite. — Je commencerais par les Mille et une Nuits.
La lecture des romans est le plaisir des honnêtes paresseux.
Le bonheur, c'est un bon fauteuil et la lecture d'un roman qui n'en finit pas.
Il n'est personne en ce monde qui n'ait dû à la lecture d'un roman favori quelques heures de repos, de récréation, l'oubli momentané des labeurs et des difficultés de la vie.
Les écrits qui s'approchent le plus de la perfection ont en général la propriété de plaire davantage à la seconde lecture qu'à la première.
Trop de lecture peut étouffer le génie au lieu de l'aider.
Je ne connais pas de plus grand plaisir que la lecture, et même n'en connais pas d'autre, et chez moi le plaisir de lire est d'autant plus intense que depuis la prime enfance j'ai nourri cette habitude, et c'est l'habitude qui produit les plaisirs.
Les gens qui lisent uniquement pour se divertir se lassent vite. Ils ne peuvent concevoir que l'on trouve dans la lecture de grandes distractions et, toujours déçus, ne cessent de passer d'un livre à l'autre sans ne jamais trouver qu'un plaisir bien mince et éphémère.
La variété et la liberté sont les choses qui plaisent le plus aux enfants et qui les attachent à leurs jeux, par conséquent, il ne faut pas leur imposer comme une obligation forcée, soit la lecture, soit toute autre étude.
Si vous n'aimez ni la lecture ni les Beaux-Arts, vous augmentez votre réputation d'homme sérieux.
Offrir des moufles à un non-voyant c'est le priver de lecture.
Certains vers ne résistent pas à une seconde lecture : des fleurs revues le lendemain.
La lecture donne à la vanité une juridiction flatteuse sur les plus grands génies.
Ne t'habitue pas à commencer des lectures et à les planter là pour quelque temps. Quand on a pris un livre, il faut l'avaler d'un seul coup : c'est le seul moyen de voir l'ensemble et d'en tirer profit. Accoutume-toi à poursuivre une idée. Puisque tu es mon élève, je ne veux pas que tu aies ce décousu dans les pensées, ce peu d'esprit de suite, qui est l'apanage des personnes de ton sexe.
Les hommes qui pensent plus qu'ils ne lisent deviennent souvent des rêveurs chimériques, et ceux qui lisent plus qu'ils ne pensent sont quelquefois des babillards peu sensés. Un bon esprit doit user de la lecture comme des aliments, pour se nourrir, et non pour se remplir.
Pour mieux supporter l'ennui de la solitude, recherchez les livres, de peur d'être accablé par la tristesse, faute de quelque instruction qui puisse nourrir votre esprit et le soutenir. Heureux ceux qui se divertissent en s'instruisant, et qui se plaisent à cultiver leur esprit par les sciences ! En quelque endroit que la fortune ennemie les jette, ils portent toujours avec eux de quoi s'entretenir, et l'ennui qui dévore les autres hommes, au milieu même des délices, est inconnu à ceux qui savent s'occuper par quelque lecture.
C'est être en mauvaise compagnie que de se trouver livré à soi-même quand on ne sait ni s'occuper ni s'amuser de lectures.
À qui n'est-il pas arrivé de rester plongé dans une méditation voluptueuse et triste, d'en écouter la voix en soi-même, et d'assister à une conversation ou à une lecture ? Admirable dualisme qui souvent aide à prendre les ennuyeux en patience !
L'ennui qui dévore les hommes au milieu même des délices est inconnu à ceux qui savent s'occuper par la lecture.
Le public, qui est quelquefois indulgent au théâtre, par caprice, est sévère à la lecture par raison : il ne demande pas mieux qu'à se dédire et à siffler ce qu'il a applaudi. Il faut le forcer à être content.
La lecture est l'aliment de l'esprit.
La lecture charme les maux, elle console des malheurs.
Je n'ai d'autre manière de juger de mes lectures que de sonder les dispositions où elles laissent mon âme, et j'imagine à peine quelle sorte de bonté peut avoir un livre qui ne porte point ses lecteurs au bien.
La conversation entretient l'esprit, la lecture le cultive, mais la seule composition l'augmente.
Une heure de lecture est le souverain remède contre les dégoûts de la vie.
La lecture est une amitié.