Les citations sur la famille.
Les 43 citations et proverbes famille.
L'esprit de servilité ne s'acquiert pas ; il est inné dans certaines familles, et chose extraordinaire ! il se trouve plus souvent dans les familles élevées par de grandes richesses et portant des noms célèbres.
Dans une famille heureuse, la vie est un développement incessant, une journée de printemps.
Existe-t-il un don du ciel plus beau, plus digne de nos actions de grâces ardentes, que la possession d'une famille, d'un foyer domestique, où les vertus, les grâces et la joie sont des hôtes de tous les jours ; où le cœur et les yeux se réchauffent au soleil dans un monde d'amour ; où la pensée s'anime, s'éclaire ; où des amis se témoignent, non seulement en paroles, mais en actions, qu'ils prennent une part mutuelle dans leurs joies, leurs espérances, leurs prières, leurs chagrins ?
Si une famille ne se compose pas de membres solidaires les uns des autres pour l'honneur et contre les mauvaises chances, qu'est-ce qu'une famille ?
La famille peut être ce qu'il y a de mieux en ce monde, mais souvent elle est ce qu'il y a de pire.
Peut-on dire d'un foyer composé des parents et d'un ou deux enfants que c'est une famille ? Tout au plus une petite cellule sociale très fragile, constamment menacée par les facteurs de désagrégation de la vie moderne, du divorce, du travail des femmes, etc. Pour qu'une famille soit solide, il faut qu'elle soit nombreuse, soudée par l'intérêt et l'amour.
La famille se manifeste rarement pour vous être agréable. Si par hasard vous avez réussi et que vous vous soyez élevé au-dessus d'elle, soyez sûr qu'elle ne manquera pas de vous harceler de demandes. Pas même polie, avec cela.
Une famille est un nid où il y a le père, ou quelqu'un qui assume les responsabilités, et une nichée qui n'a pas de responsabilités.
La famille est faite pour la protection, et pour la chaleur du nid.
Une famille vivant unie de corps et d'esprit est une rare exception.
C'est dans notre famille qu'on trouve nos meilleurs soutiens.
Une famille bien unie s'attire le respect de tout le monde.
Ô portraits de famille sans héritiers, je vous souhaite l'incendie.
La vieillesse nous ferait croire qu'on a connu toute une famille d'années : les parents, les enfants, et les petits-enfants.
L'enfant qui tyrannise son chien tyrannisera sa famille ou sa patrie.
La patrie est peut-être comme la famille, on n'en sent bien le prix que lorsqu'on n'en a plus.
Vivent l'amour, l'argent, le vin, la famille, la joie et le sentiment ! Prenons de tout cela le plus que nous pourrons, mais n'y croyons point. Soyons persuadés que le bonheur est un mythe inventé par le diable pour nous désespérer.
Le bonheur familiale est à la longue le plus solide et le plus doux.
Bénies soit les familles dont les parents se font un devoir de respecter les oreilles de l'innocence, et qui s'évertuent à ne donner que de bons conseils et de bons exemples. Dieu le rendra à leurs enfants.
Heureux quand nous connaissons une famille où nous pouvons nous plaindre de notre famille.
Les édifices les plus utiles ne sont pas les plus célèbres. Pour un glorieux monument qu'on admire, combien compte-t-on de modestes toits qui abritent des familles et des populations ?
Quoi de plus beau pour une femme que d'être une mère de famille respectable, une honnête femme dans toute la force de l'expression ; de se dévouer au bonheur de ses enfants, de son mari, de consacrer sa vie entière, cette vie que réclament si souvent les jouissances de toute espèce, à l'accomplissement de ses devoirs ! Qui ne croirait qu'une femme qui remplit cette grande tâche n'est pas avant toute autre l'objet des égards, des attentions, de l'admiration de la société ? Oui, on l'estime, on la respecte, mais on se borne là. C'est à la femme légère, inconséquente, et même galante, que l'on prodigue les soins, les prévenances, les attentions, tandis que l'autre reste isolée, presque abandonnée, sans avoir d'autre satisfaction que l'estime publique, qui certes est beaucoup pour elle, mais qui n'a rien de commun avec ces délassements, ces satisfactions de chaque instant qui sont un des premiers besoins des personnes fortement occupées et toujours des mêmes choses.
L'union des familles semble avoir pour base un pacte secret et tacite que l'on ne peut rompre sans qu'il en résulte une sorte de désorganisation dans ce qui doit être.
Il y a une chose qui est quelquefois abominable à voir, c'est l'intérieur des familles.
Un enfant né de parents obscurs, sans talents, sans fortune, doit les environner de respect, et redoubler d'efforts pour venir à leur secours : on ne jouit jamais mieux de la fortune, du génie et de toutes les facultés supérieures, que lorsqu'on en consacre les fruits au soulagement de sa famille.
La famille n'apporte à peu près que des désagréments, des complications, des tristesses, des contrariétés.
Rien ne porte à la vertu comme l'état de famille ; rien n'en éloigne comme le célibat. Le désir de donner de bons exemples à ses enfants, et de fortifier leur amour et leur respect, rappelle plus d'hommes à la vertu que les préceptes des moralistes et que l'école du monde.
Chaque animal a son instinct, celui de l'homme est l'esprit de famille.
La loi moderne, en multipliant famille par la famille, a crée le plus horrible de tous les maux : l'individualisme.
Rien ne forme l'âme comme une dissimulation constante au sein de la famille.