Les citations sur le corps.
Les 45 citations et proverbes corps :
L'homme étant composé de corps et d'esprit, il faut cultiver l'un et l'autre.
Avoir un corps, c'est la grande menace pour l'esprit.
Nous devons nous croire heureux quand notre âme est exempte de remords, et notre corps de douleur.
Si le cor que j'ai au pied était un corps de cavalerie, je pétitionnerais pour lui faire changer de garnison.
Il y a quelque chose de plus irritant qu'une prise de tabac, c'est une prise de corps.
Je n'ai jamais aimé ni les corps de garde, ni les gardes du corps.
La curiosité insatiable du corps des femmes confine à la métaphysique. D'où la curiosité qu'inspire le personnage de Don Juan.
Mon vieux corps me gêne comme un habit mal coupé et qui blesse toujours quelque part.
À cause du réchauffement climatique, la tablette de chocolat de mes abdominaux est devenue de la mousse au chocolat.
Quand il est pris d'un violent désir, le corps est assez rusé pour faire croire à l'âme que c'est elle qui est passionnée.
Corps à corps : Suite logique d'un tête-à-tête.
La malpropreté est au corps ce que le vice est à l'âme.
L'amour qui n'est fondé que sur la beauté du corps n'est pas de longue durée.
Une seule âme pourrait user mille corps.
Il est plus facile de contenter le corps que l'esprit.
Le corps est le tyran de l'âme.
Le corps est le bon chien de notre âme aveugle.
Une âme mal faite ou mal élevée dans un corps bien fait ne donne que des joies courtes.
Rien de tel pour conserver le corps que de n'avoir point de cœur.
Les femmes sont d'ordinaire séduites chez les hommes par la beauté du visage plutôt que par celle du corps, et ce en plus grande proportion que ne le sont les hommes par le visage des femmes par rapport à leur corps.
Dans l'âme comme dans le corps, la faculté d'éprouver du plaisir est limitée, et il convient de l'épargner, si l'on ne veut pas bien vite l'épuiser. Le corps et l'âme souffrent autant de l'excès de plaisir que de l'excès de douleur. Trop rares sont les choses agréables, et les plaisirs sont bien faibles.
Le corps humain est comme le fer. Si vous travaillez le fer, il s'use ; si vous ne le travaillez pas, la rouille le consomme. Nous voyons de même les hommes s'user par le travail, et s'user plus vite encore par l'inaction et la mollesse.
Il faut exercer et gouverner le corps de manière qu'il puisse obéir à la raison, soit pour exécuter tout ce qui est à faire, soit pour supporter le travail.
Ne négligez jamais la propreté de votre corps, de vos mains, de vos vêtements et de vos chaussures. La décence du corps réfléchit la décence de l'âme. La propreté, c'est l'ordre dans l'intérieur de vos maisons et dans le règlement de vos affaires : les bonnes habitudes et les vertus se touchent, de même que les mauvaises habitudes et les vices.
Le corps est pour nous comme un embarras dans la vie, comme une entrave à notre liberté. Quand nous le flattons, il pèse sur notre âme ; quand nous le maltraitons, il y pèse encore.
Rarement l'homme est assez sain de corps et d'esprit pour être dans un état complètement normal et harmonique ; il y a toujours en lui quelque chose qui tend ou à l'exaltation ou à l'engourdissement de ses facultés.
Pour bien comprendre le néant de l'homme, il faut le voir confondu dans la foule des êtres ; le voit-on ? La terre, si petite qu'elle soit, est un infini dans lequel il est comme perdu. C'est un atome dans l'espace, une goutte d'eau dans l'Océan. Tel est l'homme ; et pourtant il est fier de son individualité, il se regarde avec complaisance dans son corps, ce corps si imperceptible partout où il passe, si rien partout où il a passé.
L'énergie, c'est quand le corps vous précède au lieu de se faire tirer.
Le bonheur du corps consiste dans les plaisirs des sens.
Le grand remède qui est toujours innocent et toujours d'un usage utile, c'est la sobriété ; c'est la tempérance dans tous les plaisirs ; c'est la tranquillité de l'esprit ; c'est l'exercice du corps.