Les citations sur le social
Les 28 citations et proverbes social :
Chaque membre du corps social a un ami qui lui est particulier : les débardeurs ont la Mi-Carême ; les marins, l'amirauté ; les épiciers, l'amidon ; les boulangers, la mie de pain ; les artilleurs, la mitraille ; et le boulevard Italien, la Michodière.
L'homme à plaindre est celui qui n'a jamais senti l'attrait des affections douces et sociales.
L'homme-instrument est une sorte de zéro social, dont le plus grand nombre possible ne composera jamais une somme, s'il n'est précédé par quelques chiffres.
La nature sociale, de même que la nature elle-même, est une grande oublieuse.
Si de nos jours les classes sociales tendent à disparaître, les préjugés par contre demeurent.
Plus on est socialement élevé, plus on est en butte aux attaques de la jalousie.
Le commerce social est un commerce comme les autres et semblable intrinsèquement aux plus vulgaires. Il exige, de la part des contractants et des intéressés, des mises de fonds égales et des garanties équivalentes. Si l'un apporte à la masse la fortune ou l'intelligence, l'autre apportera la noblesse ou les relations, celui-ci l'intérêt, celui-là le plaisir ; il n'est pas jusqu'à la bassesse et à l'hypocrisie qui ne doivent entrer en ligne de compte dans cet échange incessant et qui ne suppléent, chez les habiles, au capital réel qui leur manque.
Les échéances, dans la vie sociale, sont des contraintes nécessaires. Pour aboutir dans la vie intellectuelle, il faudrait s'assigner à soi-même des échéances d'honneur.
Du monde social désolantes lueurs ! Sur la terre de Dieu coupables sacrilèges ! La multitude en bas rampant dans les sueurs ; en haut, pour quelques-uns tous les grands privilèges.
Vil monde social, où l'habile sans honte au détriment d'autrui cherche et trouve son compte !
J'étais naturellement sociable, aussi ai-je trouvé des collaborateurs dans de nombreuses entreprises, et, à mon tour, je me suis fait leur collaborateur : Par là j'ai obtenu le bonheur de me voir continuer de vivre en eux et eux de vivre en moi.
Les supériorités sociales, qui sont des bienfaits de la Providence, lorsqu'elles se transforment en mérites et s'imposent comme des droits, irritent comme une injustice et révoltent comme une usurpation.
Le monde social est une vaste machine dont les formes bizarres attestent encore l'imperfection.
Le monde social est un géant tyrannique et trompeur armé du code des préjugés et du livre des déceptions.
L'art social, l'accouplement de ces deux contradictoires me fait toujours penser aune belle femme qui serait syphilitique.
Tu as réussi socialement. Tu es riche, bien en place. C'est parfait, mais es-tu quelqu'un ?
Les hommes des diverses professions se méprisent et se haïssent les uns les autres. Incompréhension, mépris et haine réciproques constituent la solidarité sociale.
Sécurité sociale : En matière de trou, elle a pris une large avance.
Standing social : Certains préfèrent voyager debout en première classe plutôt qu'assis en seconde.
La fourberie se glissant à tous les degrés de l'échelle sociale, personne ne peut se prévaloir d'être honorable, parce qu'il porte tel nom, parce qu'il est ceci ou cela.
Il n'y a pas d'ascenseur social. Juste une échelle à laquelle il manque pas mal de barreaux.
Le préjugé est incompatible avec la sociabilité.
Le grand secret de l'alchimie sociale, c'est de tirer tout le parti possible de chacun des âges par lesquels nous passons, d'avoir toutes ses feuilles au printemps, toutes ses fleurs en été, tous ses fruits en automne.
Depuis que l'homme travaille plus spécialement à l'édifice social, il y a beaucoup à refaire ; mais l'homme peut-il réformer le mal qu'il a fait lui-même ?
Les femmes connaissent si bien leur position sociale que chez elles on cultive toujours avec soin les qualités qui leur doivent assurer l'empire. Dès l'enfance, on leur imprime la douceur, la délicatesse ; on leur enseigne la finesse et la dissimulation ; et tout cela mène droit au pouvoir.
Le bien public est le premier bien du pacte social, s'y montrer indifférent, c'est manquer au plus sacré des devoirs.
Le vrai mal, c'est le manque de milieu social, de sympathie, de stimulant et de succès.
La morale est la loi naturelle, elle est le lien du faisceau social.