Les citations sur le frère.

Mon frère est à la campagne, avec sa tourterelle, roucoulant leurs amours.

N'oublie jamais que tu as en moi un ami, un soutien, un frère. Mille baisers pour toi.

Celui qui frappe mon frère me frappe.

Toute guerre sérieuse est une guerre fratricide, car notre ennemi, c'est notre frère.

Le premier crime du monde est le meurtre d'un frère par son frère.

On ne saurait trop se méfier de ses frères. Généralement, c'est eux qui vous poignardent.

Certains s'imaginent que deux frères s'aiment parce que précisément ils sont frères. C'est bien souvent le contraire qui se produit. Le pire ennemi d'un homme n'est pas l'inconnu qui vit à mille kilomètres de lui, mais son voisin, et plus encore l'homme qui est né de la même mère que lui, dont les intérêts menacent les siens, dont les passions empiètent sur les siennes.

On ne peut faire d'un frère un ami, ni traiter un ami comme un frère.

De toutes les amitiés, il n'y en a aucune de comparable à l'amitié fraternelle. La nature a réuni autour d'elle les liens les plus forts, quand la société ne les a pas rompus dès l'enfance : Ce sont ceux de la nourriture, de l'instruction, de l'exemple, de l'habitude, de la fortune.

Puissent les frères être toujours unis contre les méchants !

Dans une librairie à Lyon où tu m'accompagnais quelqu'un t'a demandé la nature de notre lien, tu as rougi, tu as réfléchi puis tu as inventé : C'est mon frère de lait.

L'un des frères brisait les pots, l'autre les cruches : Ménage ruineux.

Les liens du sang unissent intimement les hommes ; c'est une grande chose d'avoir les mêmes ancêtres, les mêmes sacrifices, les mêmes tombeaux. Qui est plus ami qu'un frère à son frère ? Et qui vous sera fidèle, si vous êtes l'ennemi de vos proches ?

Ô mon frère, sois humble, un jour viendra où tu seras réduit en poussière.

Si tous les hommes sont frères, toutes les guerres sont des guerres civiles.

Je suis sûr d'ailleurs que les hommes ne sont pas plus frères que les feuilles des bois ne sont pareilles, elles se tourmentent ensemble, voilà tout ; ne sommes-nous pas faits avec les émanations de l'Univers ?

Frères et sœurs, vivez dans la plus parfaite union, si vous voulez voir fleurir votre maison ; la discorde détruit, anéantit tout. D'autres possèdent ce qui te manque, mais ils manquent de ce que tu as ; c'est du besoin que naquit la société.

Si quelque dispute s'élève entre des frères, qu'elle soit aussitôt terminée par eux-mêmes ou par des arbitres : ils doivent imiter les pythagoriciens. Unis par la seule doctrine et non par la parenté, si quelquefois la colère leur avait dicté quelques dures paroles, ils se hâtaient de se réconcilier avant le coucher du soleil, en se donnant la main.

L'amitié entre les frères est devenue rare, comme l'étaient jadis leurs inimitiés.

Dans la société humaine, au lieu que chaque homme devrait être, à l'égard des autres, un frère, un soutien, un conseil ; on peut dire que, par le renversement le plus affreux, la plupart des hommes sont à l'égard des autres, comme des loups ravissants qui ne cherchent qu'à surprendre leur proie.

Les affections naturelles d'époux, de frère ou de fils, procure la plus douce des sociétés de ce monde.

Terribles sont les querelles et les luttes entre frères, quand la discorde les divise.

Les hommes sont tous frères, Dieu permet le malheur des uns pour entretenir la charité des autres.

Le monde, ce sont des hommes, ces hommes ce sont des frères.