Les citations sur l'enfer.

Le chemin qui mène au Paradis ne doit pas être la rue d'Enfer.

La passion des femmes conduit en enfer, en passant par le paradis.

On ne descend pas aux enfers de la même façon que l'on monte au paradis.

Chacun recèle en lui un enfer culturalisé qu'il est incapable d'interpréter ou de rejeter dans ses moments de retour sur soi-même.

On peut rêver quelque chose de plus terrible qu'un enfer où l'on souffre, c'est un enfer où l'on s'ennuierait.

Le blasphème est porte ouverte sur l'enfer.

L'amour est fort comme la mort, et son exigence est dure comme l'enfer.

L'enfer n'est pas pavé de mauvaises intentions mais d'auto-justifications.

Mépriser l'enfer est bien facile et bien dangereux. S'il n'y a qu'une chance sur dix mille que l'enfer existe, cette chance mérite que je la considère souvent, que j'y pense tous les jours.

Les religions ont pour mission d'apaiser l'homme et de le mettre en garde quand il dépasse les limites, c'est pour cela qu'existent l'enfer et le paradis.

L'enfer ou l'échafaud sont nécessaires pour ceux qui n'ont pas de remords de leur crime.

Nulle trêve durable entre ceux qui nient le paradis et ceux qui menacent de l'enfer.

De fausses promesses du paradis ont rendu des milliers d'hommes dignes de l'enfer.

Pour un Orphée qui fut chercher sa femme dans l'enfer, combien de veufs, hélas ! qui n'iraient pas même en paradis, s'ils pensaient y retrouver la leur !

Le chemin qui mène aux enfers n'est pas plus près d'un lieu que d'un autre.

Le mariage est un enfer où l'on aime.

Entre le crime et l'enfer, il n'y a que le repentir de l'homme et la miséricorde de Dieu.

Le criminel ne vit pas, il s'agite ; sa vie n'est que trouble, convulsion et remords ; ses jours sont pleins d'inquiétudes, ses nuits pleines de fantômes ; la terreur le suit partout et le tourmente sans cesse ; tout lui est bourreaux et supplices, le ciel, la terre, les hommes. La voix d'un enfant l'accuse, la feuille que frôle le vent le fait frissonner, le regard de l'homme le poignarde, le ciel le menace ; rentre-t-il en lui-même, il y trouve l'enfer.

Une méchante femme porte l'enfer dans la maison de son mari.

La haine est la mère de toutes les puissances de l'enfer.

Entre le paradis et l'enfer, il y a juste un voile, transparent, léger, flou.

Peu de gens ont la fatuité de croire qu'ils iront droit en paradis, mais beaucoup ont peur de l'enfer, et cela sert puissamment à maintenir le bon ordre en ce monde.

Le méchant travaille pour le juste, mais en lui faisant gagner le ciel il se prépare l'enfer.