Les citations sur modérer

Modérons notre impatience, et corrigeons notre humeur ; ces mauvaises habitudes gâteraient notre physionomie.

Le bonheur est le fruit des désirs modérés et du goût pour le travail.

D'exalté qu'on est dans sa jeunesse, on devient modéré avec l'âge.

Puisez dans la coupe du plaisir, mais buvez modérément, elle enivre.

L'homme qui fume trois cigarettes par jour, l'homme modéré en tout sera toute sa vie un médiocre.

Les désirs modérés donnent les grands contentements ; l'excès en tout porte dommage.

Un homme modéré dans ses désirs, il se contente de peu.

Il faut être modéré en tout, mais sans être froid.

Celui-là mérite sa chute qui ne modère pas son vol.

Aujourd'hui, pour qu'un compliment porte, il est bon de le faire en termes modérés.

Veux-tu atteindre un âge avancé ? Use modérément de la table, de la joie, de la peine, du travail, du sommeil, enfin de toutes choses.

Les petits gains, mais nombreux, font les grandes fortunes ; les plaisirs modérés, mais continuels, font le bonheur.

On ne trouve l'amitié nulle part si vive et si solide que dans les esprits timides et sérieux, dont l'âme modérée connaît la vertu ; car elle soulage leur cœur oppressé sous le poids du secret, détend leur esprit, l'élargit, le rend plus confiant et plus vif, se mêle à leurs amusements, à leurs affaires, à leurs plaisirs mystérieux, c'est l'âme de toute leur vie.

La tempérance est la vertu qui modère toutes les émotions de l'âme ; elle détourne de la passion, elle préserve des vaines joies, elle donne la paix du cœur, elle nous avertit de suivre la raison dans la recherche ou la fuite des choses extérieures ; elle renferme en elle-même la pudeur, la modestie, la juste mesure de toutes choses.

Pour modérer ses désirs, il suffit de voir leurs objets tels qu'ils sont.

Les passions modérées sont comme des brises caressantes qui vivifient et enchantent l'existence humaine ; les passions déchaînées sont des tempêtes qui la ravagent.

Un repos modéré rend nos membres plus forts, un long repos endort et l'esprit et le corps.

Se coucher et se lever de bonne heure ; satisfaire son appétit modérément ; faire journellement de l'exercice dans des lieux aérés ; user sobrement du vin et des alcools ; ne point se livrer à une étude trop assidue ou à un travail excessif ; ne pas se médicamenter sans nécessité ; ne point écouter ses désirs dans ce qu'ils ont de trop entraînant ; modérer ses penchants et ses passions dans ce qu'ils ont de trop impétueux : Voilà les premiers conseils d'hygiène pour se conserver en santé physique et morale, et aspirer à la vieillesse.

Que vos désirs soient toujours en harmonie avec votre âge et votre condition ; modérez-les même pour qu'ils ne vous entraînent pas insensiblement ; ne mettez jamais le bonheur dans les choses d'opinion, qui sont passagères, qu'on ne peut toujours satisfaire, et qui échappent d'un moment à l'autre ; ne placez votre bonheur que dans les choses qui ont pour principe votre organisation même et en quoi consiste votre sociabilité nécessaire, comme les besoins physiques, la conscience, les affections du cœur, les sentiments moraux ; si quelqu'une de ces choses vous échappe, se résigner, et que la fermeté à en supporter la perte ou la privation vous laisse la faculté de jouir des autres ; enfin n'oubliez jamais qu'on est homme, et que l'adversité et les peines morales sont la pierre de touche de l'humanité.

Une vie sobre, modérée, simple, exempte d'inquiétudes et de passions, réglée et laborieuse, retient dans les membres d'un homme sage la vive jeunesse qui sans ces précautions est toujours prête à s'envoler sur les ailes du temps.

Rien n'est si malsain que les plaisirs où l'on ne peut se modérer.

L'homme le plus heureux en ce monde est celui qui sait modérer ses désirs, supporter les malheurs sans murmure, et la prospérité sans orgueil.

La nature seule tirerait de son sein fécond tout ce qu'il faudrait pour un nombre infini d'hommes modérés et laborieux. C'est l'orgueil et la mollesse de certains hommes qui en mettent tant d'autres dans une affreuse pauvreté.

Sachez à vos devoirs immoler vos plaisirs, et pour vous rendre heureux modérez vos désirs.

Si on savait modérer ses désirs, on éviterait bien des maux.

Une passion que l'on modère n'est autre chose qu'un mal modéré.

Il est plus facile de ne pas admettre un mauvais principe que de le modérer.

Les modérés s’opposent toujours modérément à la violence.