Les citations sur les loisirs.
Les 16 citations et proverbes loisirs :
La jeune fille est formée par le loisir, l'indépendance et la rêverie.
La brièveté de notre vie ne nous permet pas d'apprendre toutes choses ; et d'ailleurs nous ne pouvons être constamment astreints à l'étude. La faiblesse de notre constitution, au point de vue du corps comme au point de vue de l'esprit, exige que nous prenions souvent du repos ; et à tout âge, si nous voulons faire un bon emploi de notre vie, nous devons en consacrer une bonne partie aux loisirs.
Le plus dégoûtant dans les programmes politiques, c'est qu'ils ont tous pour objectif l'amélioration de la vie des gens, l'augmentation des salaires et des loisirs, le bonheur en somme. Je veux dire par là que tout programme est optimiste. Et c'est en cela qu'il est toujours inadéquat. La vie n'est pas optimiste. Elle est pleine d'embûches et de trahisons qu'il faut déjouer au jour le jour, de catastrophes plus ou moins prévisibles, de décisions à prendre inopinément.
Une compagne véritable, consolatrice, inspiratrice, muse et soutien, appui et écho, disciple et guide à la fois, avec elle point de fatigue, sympathie perpétuelle dans l'élan ou le repos, dans l'intelligence ou la rêverie, dans le travail ou le loisir ; battement d'ailes en commun, une vie en deux âmes, et une vie élevée.
Un loisir occupé fait savourer la vie.
La différence du loisir à l'oisiveté est celle de la liberté à la licence.
Les gens du monde perdent leur temps et profanent leurs loisirs ; les pauvres n'ont pas de loisirs et souffrent du temps.
Le loisir est un temps qu'on peut employer à quelque chose d'utile.
Certaines personnes occupent le temps de leurs loisirs à chercher comment l'occuper.
On se repent à loisirs des engagements contractés à la hâte.
Si l'indolente oisiveté n'engendre que la tristesse et l'ennui, le charme des doux loisirs est le fruit d'une vie laborieuse.
La pauvreté, qui manque de tout, n'a pas le loisir de songer aux divertissements.
Les gens du monde emploient mieux leurs loisirs que leur temps : les pauvres n'ont pas de loisirs. Les philosophes se sont trompés sur le peuple et sur les grands. Ils ont pensé que les petits s'éclaireraient, et que les grands ne s'éclaireraient point.
Le peuple ne s'ennuie guère, sa vie est active. Si ses amusements ne sont pas variés, ils sont rares ; beaucoup de jours de fatigues lui font goûter, avec délices, quelques jours de fêtes. Une alternative de longs travaux et de courts loisirs, tient lieu d'assaisonnement à ses plaisirs. Pour les riches, leur grand fléau c'est l'ennui. Au sein de tant d'amusements rassemblés à grands frais, au milieu de tant de gens accourus pour leur plaire, l'ennui les consume et les tue.
Pendant les loisirs d'une paix passagère un peuple doit prévoir et préparer la guerre.
Le loisir sans nécessité produit des peines fâcheuses.