On n'exige pas d'un auteur, surtout d'un moraliste, qu'il parle comme ses livres. Ses écrits, ses discours, sa conduite sont trois choses toutes différentes qu'il n'est point obliger de concilier. Tout est absurde et rien ne choque, parce qu'on y est accoutumé, et il y a même à cette inconséquence une sorte de bon air dont bien des gens se font honneur.