La sainteté de la musique d'église et la gaieté, la malice des mélodies populaires, sont les deux pôles sur lesquels tourne la véritable musique. Sur ces deux points, elle produit constamment un effet infaillible, le recueillement ou la danse. Le mélange égare ; l'affaiblissement tourne à la fadeur, et, si la musique veut se rabattre sur le poème didactique ou descriptif, ou sur quelque chose de pareil, elle devient froide.