Les citations sur descendre

La Raison est un Messie qui devrait bien descendre sur la terre.

Un chien : On dirait une descente de lit empaillée.

De son piédestal, il ne faut qu'un instant pour en descendre.

Ma vie nage dans une vapeur de joie semblable à ces brouillards roses qui descendent le matin sur les plaines et qui, pendant quelques instants, voilent les horizons même les plus proches.

Il est des femmes qui transportent un homme de la terre dans le ciel, mais on en connaît d'autres qui font descendre le ciel sur la terre.

Tout homme descend du singe, mais chez certains, on a l'impression que c'est très récent.

Ce n'est pas parce qu'on descend à la prochaine qu'il faut mépriser la précédente... pareil pour les femmes !

On croit que les anniversaires sont les piquets du slalom de notre existence. Erreur... La vie est une descente tout schuss... sur une piste noire.

Quand, dans le métro, je pense que tous les gens qui m'entourent ont une vie sexuelle, j'ai hâte de descendre à la prochaine.

La beauté devient facilement statue, alors on se refroidit à son approche, elle ne descend plus au cœur, elle n'est plus que la fête des yeux.

Pour monter à la vie, la jeunesse nous donne la main ; pour en descendre, la vieillesse ne nous offre que sa béquille.

Une grande âme ne peut descendre au mensonge.

Il en est de l'amour comme de ces montagnes en forme de pic dont le sommet n'offre point de lieu de repos ; à peine monté, il faut descendre.

Il n'y a pas besoin de gravir les montagnes ou de descendre au fleuve pour chercher de l'eau. Dans un espace grand comme la main, enfoncez la sonde et frappez dessus, il jaillira des fontaines. Le puits artésien est un symbole et les Chinois, qui l'ont connu de tout temps, un grand peuple.

On s'honore plus sur l'échelle sociale par la crainte d'en descendre que par l'envie d'y monter.

Là où le niveau intellectuel descend, les charlatans s'élèvent, comme ces rochers de la grève, qui ne grandissent que de l'abaissement de la marée.

Les hommes nous permettent bien de nous élever au-dessus d'eux, mais ils ne nous pardonnent jamais de ne pas descendre aussi bas qu'eux. Aussi le sentiment qu'ils accordent aux grands caractères ne va-t-il pas sans un peu de haine et de crainte. Trop d'honneur est pour eux une censure tacite qu'ils ne pardonnent ni aux vivants ni aux morts.

En vieillissant, on finit par ne plus aimer qu'avec sa tête. Peut-être, mais ce n'est pas un changement bien considérable : simplement, le cœur qui monte à la tête, comme, avant, la tête descendait au cœur.