Les citations sur considérer.
Les 22 citations et proverbes considérer :
En toute chose il faut considérer la fin.
On peut considérer le monde intelligent comme un grand individu qui ne meurt jamais, qui fait sans relâche le nécessaire et se rend par là-même maitre du contingent.
J'ai toujours considéré le feu de l'amour comme un feu d'artifice dont le mariage est le bouquet.
En toute sauce il faut considérer la faim.
Dans notre société moderne, celui qui ne travaille pas peut être considéré comme un parasite.
Quand le cul-de-sac débouche sur une impasse on peut considérer que la situation est sans issue.
Je me défie d'un avis et d'un sentiment qui sont goûtés par des êtres que je goûte peu ou que je ne considère pas.
Dans notre monde survolté, ceux qui ont la chance de ne pas être pressés sont considérés comme des emmerdeurs.
On peut considérer que les obèses sont des « en trop » pophages.
Hélas ! on ne considère jamais le pauvre tout à fait comme soi, et notre pitié s'en rétrécit.
Paresseux, va vers la fourmi, considère ses voies et deviens sage.
Ceux qui ont de bonnes qualités sont moins considérés que ceux à qui l'on en donne.
Passé un certain âge, on considère les hommes et les événements comme on lit un roman ou comme on voit un spectacle ; on en devine au premier abord le commencement, la suite et la fin. C'est ce qui rend les vieillards si détachés de tout.
Quand une action est infâme en elle-même, on ne doit jamais considérer l'homme, mais l'action.
Considérez toujours de loin toutes les suites de ce que vous voudrez entreprendre.
Ce n'est point la valeur du présent qu'il faut considérer, mais la valeur de celui qui donne.
La bonne renommée, c'est le fait d'être considérer comme un homme de valeur.
Aujourd'hui, pour être quelque chose, il faut réussir. Ayez de la délicatesse, de la générosité, de l'honneur, de la probité, du talent, si vous êtes malheureux vous n'avez rien, vous ne comptez au monde que pour un être méconnu, insulté, méprisé. Fussiez-vous sans défauts, on vous en trouverait en foule ; à la méchanceté, la calomnie ne coûte rien. Mais réussissez, avec le succès, vous avez tout ; vous voilà tout-à-coup un homme d'importance, on vous considère, on vous vante, on vous préconise, vous n'avez plus qu'à marcher devant vous, tous les obstacles s'aplanissent, toutes les fleurs de la vie naissent sous vos pas. Il est vrai qu'on vous fait payer votre triomphe et votre grosse joie, mais vous payez de bon cœur, car c'est votre vanité qui paie. Ainsi, malheureux, la méchanceté vous déchire ; heureux, la flatterie vous exploite.
Dans le cœur de la plupart des hommes, il y a tant d'orgueil et si peu de reconnaissance, qu'on devient plus considérable à leurs yeux par le mal qu'on leur fait, que par les services qu'on leur rend.
Les journaux peuvent faire moins de mal qu'on ne pense ; ils sont considérés comme les gens d'esprit, dont on se défie par cela même qu'ils sont gens d'esprit.
L'homme qui est universellement considéré est communément irréprochable dans sa vie publique. Il tient les rênes de ses passions, et ne les dirige que pour l'utilité de tous. On loue son désintéressement, son obligeance, sa droiture, sa probité inflexible : jamais il ne dévie des sentiers de la justice.
Quand on considère l'intérêt individuel du point de vue social, on a honte de le considérer ; dans la masse des citoyens l'individu est si peu de chose !