Les citations sur les carrières.
Les 13 citations et proverbes carrière :
La carrière militaire est celle où l'on éprouve le plus de fatigues, et cependant on y arrive à la longévité : ce qui prouve que l'activité et le travail sont nécessaires à l'existence.
Quand on a parcouru la moitié de sa carrière, il faut être bien médiocre pour qu'un titre puisse ajouter à la réputation.
On ne devrait pas avoir d'autre ambition que de consacrer autant de temps à son bonheur qu'à son travail. Cela ne vaut pas la peine de consacrer toute sa carrière.
Tu as des ennemis, on t'examinera avec malveillance ; il te faut faire taire les malins, acquérir tes titres, convertir des promesses en réalités ; faire mieux que celui que tu remplaces, si tu veux justifier ta position. - Ta carrière peut être coulée, si tu échoues à cette épreuve. Pique-toi d'honneur.
La vie de l'homme ne se mesure pas par les années, mais par les actions : l'homme qui a bien vécu a rempli sa carrière ; quelque jeune qu'il soit, il est mûr pour le ciel.
La carrière du génie est plus épineuse que celle de la fortune.
Les nombreuses carrières qui coupent en tout sens le chemin de la vie conduisent toutes au fatal rendez-vous : à la mort.
La carrière est aisée quand la règle conduit.
Chaque homme doit penser à sa manière, car il trouve toujours sur son chemin une vérité, ou une sorte de vérité, qui l'aide à fournir la carrière de la vie ; seulement il ne doit pas se laisser la bride sur le cou ; il doit se contrôler ; l'instinct pur et simple ne doit pas être la règle de l'homme.
Voici des mois que je perds mon temps, que je vis à l'aventure, que je ne tiens pas de comptes, que je ne songe plus à ma vocation, à ma carrière, à ma responsabilité. Gaspillage effroyable de forces, qui auraient pu servir à mieux. — Et d'où vient cela ? D'un dégoût grandissant de ma vie actuelle et d'un manque d'espérance pour la renouveler en mieux. — Le découragement, voilà l'ennemi, qui m'a coupé le tendon d'Achille, voilà le vampire qui m'a bu le sang du cœur, voilà le poison qui m'a ôté jusqu'à la force de vouloir et au désir de guérir.
La vie est si courte, les facultés de l'homme sont si bornées, quelque admirables qu'il les suppose, et il en est si peu maître, que, quand il a commencé sa carrière dans un sens, et que le hasard fait qu'il la continue dans un autre, tout ce qui lui reste d'existence n'est pas suffisant pour effacer les premières impressions qu'il a reçues, et qu'il se trouve toujours malgré lui dans une fausse position.
Le choix d'un genre de vie est ce qu'il y a au monde de plus difficile. En effet, dans cet âge de l'adolescence où la réflexion est si faible encore, chacun se propose son genre de vie uniquement d'après ce qu'il a le mieux aimé jusque-là. Il se trouve donc lancé et embarrassé dans une carrière déterminée, avant d'avoir pu juger ce qu'il y avait de meilleur pour lui. La plupart, dirigés par les exemples de leurs parents, suivent les habitudes paternelles. D'autres sont emportés par le jugement de la multitude, et préfèrent à tout le reste ce que la multitude proclame comme plus avantageux. Un petit nombre, grâce à quelque heureuse rencontre, à leur excellent naturel ou à leur sage éducation, suivent une bonne route.
L'espérance est la plus utile de toutes les affections de l'âme, parce qu'elle entretient la santé par le repos de l'imagination. Un homme qui a des espérances pour de longues années fournit ordinairement une grande carrière : s'il n'avait sans cesse devant les yeux un projet à remplir, son terme serait proche, et sa vie s'éteindrait avec ses désirs. L'espérance est une espèce de joie qui, semblable à l'or en feuilles, se développe et s'étend sur tous les moments de la vie.