Les citations sur la naissance
Les 21 citations et proverbes naissance.
Si la nature augmente la mesure de notre existence, sans multiplier les agréments de la vie ; si, au contraire, elle les laisse passer comme un crible ; si chaque année stérile est marquée par la perte de quelque plaisir, de sorte que l'on n'y gagne que quelques tristes réflexions ; est-ce-là fêter son jour de naissance ? Je n'y vois, hélas ! que les funérailles de l'année précédente.
Je peux maintenant l'avouer, le spermatozoïde dont la victoire a donné lieu à ma naissance s'était dopé.
La vie est une loterie et, qu'on le veuille ou non, chacun de nous a, dès sa naissance, un pied dans la tombola.
Les blasés de naissance, n'attendant rien de la vie, devraient être à l'abri de la déception. Curieusement, ils sont tous aigris.
La mort n'est pas le moment le plus important de la vie, c'est bien sûr la naissance ! Et beaucoup mettent une vie entière à s'en apercevoir.
J'ai demandé à Dieu de supprimer la peine de mort prévue dès l'acte de naissance. Il a refusé sous prétexte que ça lui ferait perdre sa clientèle.
Auprès de la naissance de l'Univers la mienne est totalement insignifiante. Mais je ne suis quand même pas mécontent de mon Little Bang.
Il faut être bien sot pour s'enorgueillir de sa figure, de sa naissance et des richesses de ses parents.
Le premier jour de votre naissance vous achemine à mourir comme à vivre.
Ne te flatte pas plus de ton bonheur que de ta naissance.
Une haute naissance meurt et s'éteint en nous, dès que nous héritons du nom sans hériter des vertus qui l'ont rendu illustre.
Il faut pleurer les hommes à leur naissance, et non pas à leur mort.
Chaque instant est celui de la mort d'un homme et de la naissance d'un autre.
Si ma naissance est basse, elle est du moins sans tache.
Un pur hasard, sans nous, règle notre naissance.
Notre naissance n'est autre chose que le commencement de notre mort, comme la bougie se fond dès l'instant qu'elle est allumée.
Rien ne constate plus la folie des hommes que leur asservissement au préjugé de la naissance, et tous les sacrifices, petitesses et pauvretés de tout genre auxquels cet asservissement les conduit.
Les hommes ne connaissent pas les femmes sous un autre nom que sous celui de beau sexe, mais s'il est seulement beau pour ceux qui n'ont que des yeux, il est encore, pour ceux qui ont un cœur, le sexe générateur qui porte l'homme neuf mois dans ses flancs au péril de sa vie, et le sexe nourricier qui l'allaite et le soigne dans l'enfance. Il est le sexe pieux qui le porte aux autels lorsqu'il vient de naître ; il est le sexe pacifique qui ne verse point le sang de ses semblables ; le sexe consolateur qui prend soin des malades, et qui les touche sans les blesser.
On ne fuit ni la vieillesse ni la mort, elles nous suivent dès la naissance même.
Ô vous qui doutez de l'existence de Dieu ! expliquez donc le dévouement de la maternité !
Ce n'est point par son principe, mais par ses conséquences, que le préjugé de la naissance est ridicule : le tronc de l'arbre est sain, ce sont les branches qui en sont mauvaises.