Les citations sur la limite.
Les 43 citations et proverbes limite :
Mes actes n'ont de limites que celles où vient buter ma force.
Lorsque la liberté prend un caractère licencieux, il est indispensable pour en limiter les dégâts et autres fâcheuses conséquences, d'en définir, autant que possible, les limites.
Il faut savoir limiter ses ambitions à ses possibilités.
La complaisance a toujours des limites.
La vraie bonté ne connaît pas de limite.
Le plus sûr moyen de cacher aux autres les limites de son propre savoir est de ne les dépasser jamais.
Un menu plaisir dont on ignore le terme plaît davantage qu'un grand plaisir dont on aperçoit les limites.
L'homme ne cesse jamais de désirer le bien, et il le désire sans limites.
Il est bon de constater et d'admettre ses limites, pour en tirer parti.
Au fil des années qui s'écoulent et qui passent on aperçoit les limites toujours plus étroites de sa force, et la minceur de sa santé.
La nature n'a aucune limite dans ses cruautés indifférentes, elle ne tient nullement à ménager ni à sauver les créatures. Tant pis pour celles-ci ; qu'elles souffrent ou périssent cela les regarde. Qu'elles deviennent malades, pauvres, exaspérées, qu'importe au ciel et à la terre ?
Même en quittant une modeste place, l'homme de mérite laisse un grand vide, car la sphère de son utilité dépasse toujours les limites de son emploi.
Le moindre des hommes peut être complet, s'il se meut dans les limites de ses facultés et de ses aptitudes ; mais de belles prérogatives sont elles-mêmes obscurcies, détruites, anéanties, si cette juste proportion, rigoureusement exigée, vient à manquer. Ce mal se produira encore plus souvent de nos jours : En effet, qui pourra satisfaire aux exigences d'une époque éminemment progressive, et qui marche si vite ?
Dans ce monde d'un jour où tout vice est honni, le bien est limité, le mal est infini.
Quand tu franchis les limites du tolérable, tu débouches dans le néant.
Au-delà d'une certaine limite, je sais que je ne pourrais plus me tolérer.
Connaître ses limites, c'est bien ; malheureusement on ne les connaît que de l'intérieur.
Le tact est la science des limites.
Comme la nature a vite fait de nous montrer nos limites !
Quand une limite arrive, elle semble toujours avoir été proche.
Le cœur d'un ami est un pays vaste, dont l'étendue ne souffre point de limites.
Je pressens des limites infranchissables et artificielles et il me répugne de les toucher de mes mains. Je ne me sens pas reconnu dans ma valeur, accepté, accueilli comme je devrais l'être, et je me recoquille surpris et offensé. Je proteste dans mon for intérieur et vis dans le provisoire. Je me tiens en disponibilité, n'attachant mon cœur à rien de ce qui ne lui paraît pas définitif. En un mot, je ne suis que campé dans ma vie, tandis que le cœur a besoin de se fixer ; une tente n'est pas un foyer. Un vaisseau n'est une patrie que s'il emporte aussi la famille.
S'accommoder du réel, de ses imperfections et de ses limites, convertir ses soupirs en force active et bienfaisante, accepter son sort et son lot, se réconcilier avec le prochain et les circonstances telles qu'elles sont, diviniser ses expériences et découvrir une intention paternelle dans les joies et les douleurs qui ont fait le tissu de nos jours, c'est le moyen de retrouver la force et la paix.
Quand le mal n'arrive à sa dernière limite ; s'il grandit, s'aggrave, s'envenime, s'étend sans relâche. Il faut en venir à la lutte avec lui, et mieux vaut plus tôt que plus tard.
Ne dépense pas ta force, ton temps, ta paix en luttes stériles ; c'est-à-dire ne discute qu'avec des pairs, ne conteste pas avec les autres et pose simplement les limites que tu assignes à tes concessions.
L'épée ne s'arrête pas juste à la limite du droit ; il est de sa nature de rentrer malaisément dans le fourreau quand elle s'est une fois échauffée dans la main de l'homme.
Le faux, en ce monde, ne connaît aucunes limites.
La plupart des hommes se plaignent de la nature qui a resserré la vie dans de si étroites limites. Mais loin d'être pauvres de temps, nous en sommes prodigues ; nous ne l'employons pas en choses vraiment utiles, nous le laissons s'écouler dans le luxe et l'indolence. De même que de grands trésors se dissipent en un moment, dès qu'ils tombent en partage à un mauvais maître, tandis que des biens modiques suffisent et s'accroissent entre les mains d'un homme sage, ainsi la vie : elle est longue si vous savez en user ; et ceux-là seuls savent en user, qui cultivent la sagesse.
La limite qui sépare en France le domaine de l'ordonnance et celui de la loi est encore si incertaine, que si un jour le despotisme renaissait, ses premières conquêtes auraient lieu en franchissant ce ruisseau.
Rien ne limite les désirs dans la fortune ; rien ne peut faire calculer les revers dans le malheur.