Les citations sur le Christ

Les 21 citations et proverbes Christ.

L'héroïsme du christianisme, c'est de se détacher de toute affection égoïste, en gardant tout l'amour, avec toute sa force.

Pierre Reverdy - Le gant de crin (1927)

Le Christ n'est plus qu'un sujet littéraire à la mode.

Jules Renard - Journal du 26 décembre 1893.

La croix du christianisme plane sur les civilisations humaines et sera toujours la mesure qui déterminera leur degré d'élévation.

John Petit-Senn - Les bluettes et boutades (1846)

Tout homme qui pense doit marcher sous la bannière du Christ ! Lui seul a consacré le triomphe de l'esprit sur la matière, lui seul nous a poétiquement révélé le monde intermédiaire qui nous sépare de Dieu.

Honoré de Balzac - La peau de chagrin (1831)

Jésus-Christ est un Dieu dont on s'approche sans orgueil, et sous lequel on s'abaisse sans désespoir.

Blaise Pascal - Les pensées (1670)

Quand Jésus-Christ appelait les pauvres ses membres, il faisait une œuvre de charité merveilleuse, et il savait qu'ils avaient besoin de cette qualité pour attendrir et intéresser en leur faveur. La misère, un air triste, des vêtements en lambeaux, des infirmités, des plaies dégoûtantes, tout cela n'est guère attrayant pour le monde ; mais ces pauvres infortunés sont les membres de Jésus-Christ : quelle recommandation auprès des fidèles ! Cette misère, ces lambeaux, ces plaies, cette tristesse, c'est la livrée, c'est l'état de Jésus. Ces malheureux, courbés sous le poids de leurs douleurs, c'est Jésus courbé sous le poids de sa croix ; alors la foi ouvre le cœur, la charité s'enflamme : on court à eux, on les soulage, on les console, et Jésus bénit tout ensemble les consolateurs et les consolés.

Alfred Auguste Pilavoine - Les pensées, mélanges et poésies (1845)

Le royaume de Jésus-Christ est ouvert à tout le monde, aux riches et aux pauvres, aux grands et aux petits, aux pécheurs et aux justes : Dieu n'en exclut que ceux qui ne veulent pas le conquérir.

Alfred Auguste Pilavoine - Les pensées, mélanges et poésies (1845)

Partout où ne règnent pas la paix et la liberté, le Christ est absent des esprits et des cœurs.

Alfred Auguste Pilavoine - Les pensées, mélanges et poésies (1845)

Le Christ a marqué de ses larmes et de son sang son chemin sur la terre : il nous faut, comme le Christ, arroser de nos sueurs et de nos larmes le chemin qui conduit au champ du repos.

Alfred Auguste Pilavoine - Les pensées, mélanges et poésies (1845)

Le Christ a porté sa croix jusqu'au Calvaire : il nous faut, comme le Christ, porter notre croix jusqu'au tombeau.

Alfred Auguste Pilavoine - Les pensées, mélanges et poésies (1845)

Le Christ est venu au monde pour souffrir et pour pardonner : il nous faut, comme le Christ, pardonner et souffrir.

Alfred Auguste Pilavoine - Les pensées, mélanges et poésies (1845)

Quand vous voyez des hommes s'abandonner à la médisance, à la haine, à la calomnie, au mensonge, à la fraude, à la vanité, à la concupiscence, dites hardiment : le Christ n'est pas parmi ces hommes ; car le Christ est toute vérité, toute pureté et tout amour.

Alfred Auguste Pilavoine - Les pensées, mélanges et poésies (1845)

Le Christ est venu et a dit au riche, sois bienfaisant ; au pauvre, sois résigné ; au maître, commande avec justice et avec douceur ; au serviteur, obéis avec respect et affectueusement ; au savant, sois humble ; à l'ignorant, sois docile et attentif ; à tous, aimez-vous les uns les autres. Et, avec ces simples maximes, le Christ a conquis le monde à la liberté et à la paix.

Alfred Auguste Pilavoine - Les pensées, mélanges et poésies (1845)

Le Christ n'est pas venu pour proclamer l'égalité absolue ; il est venu pour rappeler tous les hommes à leurs devoirs, et faire sortir leurs droits et leur bonheur respectifs de cet accomplissement.

Alfred Auguste Pilavoine - Les pensées, mélanges et poésies (1845)

Le Christ n'est pas venu pour faire disparaître l'inégalité des conditions, il est venu pour relier les hommes par la charité, pour rendre le riche et le pauvre amis et frères, en les rapprochant par le besoin d'une justice réciproque.

Alfred Auguste Pilavoine - Les pensées, mélanges et poésies (1845)

La vie du Christ fut une vie de douceur, d'humilité, de soumission, de patience et d'obéissance absolue ; tout Dieu qu'il était, il a obéi jusqu'à la mort, jusqu'à la mort de la croix. Aussi, il aime les hommes doux, humbles, soumis et obéissants ; il les aime d'un amour plus tendre, comme les généreux émules de sa vie, comme les exemplaires dont il fut le modèle.

Alfred Auguste Pilavoine - Les pensées, mélanges et poésies (1845)

Le Christ est venu en ce monde pour reconquérir doucement, progressivement, l'homme au bien et non pour le révolutionner.

Alfred Auguste Pilavoine - Les pensées, mélanges et poésies (1845)

Le Christ est ennemi des révolutions, ennemi des révolutionnaires, ennemi de tous ceux qui nourrissent dans leur cœur l'esprit d'orgueil, de haine et de rébellion.

Alfred Auguste Pilavoine - Les pensées, mélanges et poésies (1845)

La doctrine chrétienne est une doctrine d’abnégation ; le Christ est venu pour apprendre aux hommes, par son propre exemple, à s'immoler pacifiquement les uns aux autres.

Alfred Auguste Pilavoine - Les pensées, mélanges et poésies (1845)

Le Christ est venu sur la terre pour la régénérer ; il a injecté les idées de l'évangile dans le cœur de l'homme pour en chasser le vieux venin de l'orgueil, et inoculer en lui l'esprit de justice et le sentiment d'amour.

Alfred Auguste Pilavoine - Les pensées, mélanges et poésies (1845)

L'âme humaine abandonnée à elle-même s'égare et s'abime dans le vide de ses propres pensées, mais abritée dans le sein de l'église, qui n'est autre que le sein même du Christ, elle y jouit purement de la liberté, de l'ordre et de la gloire ; car, à mesure qu'elle se dilate, l'église s'agrandit pour lui laisser prendre son vol vers le ciel.

Alfred Auguste Pilavoine - Les pensées, mélanges et poésies (1845)

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