Les proverbes et adages irlandais (2)
Les meilleurs proverbes de l'Irlande :
On peut amener un cheval à l'abreuvoir mais on ne peut pas le forcer à boire.
Une bouche silencieuse jamais ne fait de mal.
Si vous mettez un Irlandais à la broche, vous trouverez toujours un autre Irlandais pour l'arroser.
L'Anglais pense assis, le Français debout, l'Américain en marchant, l'Irlandais à retardement.
Un irlandais à genoux vaut quatre anglais debout.
Méfiez-vous d'un Anglais : il est aux aguets pour vous tromper.
Qui cherche la mer doit suivre les mouettes.
Ici aujourd'hui, puis s'en aller demain.
Le papier ne refuse jamais l'encre.
Donnez à un gredin une corde assez longue, et vous pouvez être sûr qu'il se pendra.
Une lourde bourse fait un cœur léger.
Les difficultés de l'Angleterre sont la chance de l'Irlande.
La vie ne nous distribue pas les meilleurs cartes, mais l'important est de jouer de son mieux.
Une brebis infectée suffit pour gâter tout le troupeau.
Le sang des proches n'est pas de l'eau.
Les proverbes sont l'écho de l'expérience.
La meilleure politique c'est la vertu.
Bonne compagnie abrège le chemin.
Tout ce qui entre dans la bourse n'est pas gain.
La moitié du monde ignore la façon de vivre de l'autre moitié.
Les dupes deviennent presque toujours fripons.
Toute comparaison cloche en quelque chose.
Qui n'a goûté à la mort ignore la saveur des nourritures.
Surveille ton troupeau, avant de juger les brebis de ton voisin.
La vie est une chose douce à qui sait en profiter.
L'espérance est ce qui meurt en dernier chez un homme.
Un sot ne donnera pas un pouce de sa volonté pour une toise de gain.
Il n'y pas de malheur qui n'ait son côté favorable.
Un homme, pas plus qu'un oiseau, ne peut occuper deux places à la fois.
Toute épreuve porte ses fruits salutaires.
Attaquer un ecclésiastique en cour d'église, c'est aller en enfer pour plaider contre le diable.