Victor Cherbuliez.

Les pensées et citations de Victor Cherbuliez :

Pour le touriste, le monde est un promenoir.

Victor Cherbuliez - Les pensées extraites de ses œuvres (1913)

Aux champs, tout donne à penser.

Victor Cherbuliez - Le grand œuvre (1867)

La femme qui veut à toute force jouer un rôle tue son bonheur et celui des autres.

Victor Cherbuliez - Les amours fragiles (1880)

L'imagination détourne les choses de leur fin naturelle et les fait servir à ses plaisirs.

Victor Cherbuliez - L'art et la nature (1892)

La société est un grand corps sans âme et sans cœur.

Victor Cherbuliez - Paule Méré (1864)

Il y a des esprits ainsi faits que les accessoires les tracassent plus que le principal.

Victor Cherbuliez - Les pensées extraites de ses œuvres (1913)

L'intelligence est le vrai fondement de l'admiration et de l'amour ; par conséquent ce qui nous donne le plus profondément l'intelligence des choses est aussi ce qui nous en révèle le mieux la réelle beauté.

Victor Cherbuliez - Les pensées extraites de ses œuvres (1913)

Ceux qui n'ont été que des demi-mondains, des demi-pécheurs, des demi-incrédules, ne deviennent jamais que des demi-saints.

Victor Cherbuliez - Les pensées extraites de ses œuvres (1913)

Il y a des gens qui passent leur vie à faire de grandes parties de plaisir dans leur conscience.

Victor Cherbuliez - Paule Méré (1864)

Les consciences qui ont beaucoup roulé, perdent en roulant leurs angles, leur raideur et leur virginité.

Victor Cherbuliez - Les pensées extraites de ses œuvres (1913)

On croit parce qu'on croit, et on n'aura jamais de meilleure raison de croire.

Victor Cherbuliez - Les pensées extraites de ses œuvres (1913)

La poésie est une eau courante ; dès qu'elle s'arrête, elle croupit.

Victor Cherbuliez - Les études de littérature et d'art (1873)

En matière de courage, il est bon d'avoir l'occasion de voir le fond de son sac ; rien n'est plus propre à vous guérir un hâbleur de la sotte manie des fanfaronnades.

Victor Cherbuliez - Le comte Kostia (1863)

Heureux de ton seul bonheur, je serai encore assez riche et assez noble pour te faire le plus grand des sacrifices, en mourant à tes pieds.

Victor Cherbuliez - L'idéal romanesque en France de 1610 à 1816 (1911)

Il faut avoir plus de dix-sept ans pour deviner le prix d'une amitié sincère, fût-elle un peu grondeuse !

Victor Cherbuliez - Miss Rovel (1875)

On peut être à la fois très passionné et très flegmatique.

Victor Cherbuliez - Olivier Maugant (1885)

Il est plus facile de mortifier son esprit que ses passions.

Victor Cherbuliez - Les hommes et les choses du temps présent (1883)

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