Samuel Ferdinand-Lop.
Sa biographie :
Journaliste, écrivain, poète et humoriste français né le 10 octobre 1891 à Marseille, Ferdinand Lop, dit également Samuel Ferdinand-Lop, est décédé le 29 octobre 1974 à Saint-Sébastien-de-Morsent dans le département de l'Eure en région Normandie à l'âge de 83 ans.
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Les 58 citations de Samuel Ferdinand-Lop :
Faire de la politique, c'est bien souvent faire beaucoup de bruit pour rien.
Docilité ne signifie pas esclavage.
La vérité finit toujours par sortir du puits.
Le réalisme aboutit à la vérité, la démagogie s'en éloigne.
Devant l'adversité, il faut garder tout son sang-froid.
On ne peut rien bâtir sans établir, au préalable, de solides fondements.
On doit se retenir de manger en dehors des repas.
On ne doit mépriser quelqu'un que dans la mesure où ce dernier est vraiment méprisable.
Face à la vérité, le doute n'est pas permis.
Diviniser un être humain, c'est outrager le Créateur.
L'art abstrait est, en réalité, une déformation de la pensée.
Le philanthrope agit par altruisme ; l'affairiste par intérêt.
L'ambition ne sert trop souvent que l'égoïsme.
Dans une discussion on ne doit pas s'aventurer à la légère.
L'exagération n'est jamais la vérité.
On peut être pudique sans pour cela être puritain.
La peur engendre la panique.
La bonté n'a pas de prix.
La morale humaine repose sur quatre colonnes fondamentales : Confucius, Moïse, le Christ et Mahomet.
Au fur et à mesure que se développent les inventions techniques et scientifiques, la société humaine semble courir à sa perte : la folie devient générale.
En démocratie, référendum ne veut pas dire plébiscite.
On ne peut accuser les régimes politiques d'être les seuls responsables des maux dont nous souffrons ; les vrais coupables ce sont les hommes qui les président et les représentent.
La notoriété n'est souvent que le résultat d'une grande publicité.
La vertu ne connaît pas la publicité.
Rien n'est absolu : la vie elle-même est relative.