Publilius Syrus.

Les meilleures citations de Publilius Syrus :

Le malheur nous apprend si nous avons ou non, un ami véritable ou seulement de nom.

Publilius Syrus - Les sentences et maximes - Ier s. av. J.-C.

Notre intempérance et ses funestes suites, de nos médecins font bouillir les marmites.

Publilius Syrus - Les sentences et maximes - Ier s. av. J.-C.

L'homme bon par calcul, et non pas par penchant, mérite à tous égards qu'on l'appelle méchant.

Publilius Syrus - Les sentences et maximes - Ier s. av. J.-C.

Le fourbe n'est jamais plus à craindre que quand il prend un masque pour feindre.

Publilius Syrus - Les sentences et maximes - Ier s. av. J.-C.

Gardez-vous d'un valet, docteur et fanfaron, qui veut, férule en main, régenter son patron.

Publilius Syrus - Les sentences et maximes - Ier s. av. J.-C.

D'un seul homme bientôt la malice féconde en malédiction tombe sur tout le monde.

Publilius Syrus - Les sentences et maximes - Ier s. av. J.-C.

Quand le diable est entré dans nos têtes, il a, pour s'exercer, cent raisons toujours prêtes.

Publilius Syrus - Les sentences et maximes - Ier s. av. J.-C.

Vis en homme, en homme apprend à souffrir ; qui n'a pas bien vécu ne sait pas bien mourir.

Publilius Syrus - Les sentences et maximes - Ier s. av. J.-C.

Le sort d'un médecin est bizarre et fatal : Quand les clients vont bien, le médecin va mal.

Publilius Syrus - Les sentences et maximes - Ier s. av. J.-C.

La fortune de nous amèrement se raille ; si l'on compte sur elle, on ne fait rien qui vaille.

Publilius Syrus - Les sentences et maximes - Ier s. av. J.-C.

Toujours un homme sage et doué de raison flaire à demi le traître et craint la trahison.

Publilius Syrus - Les sentences et maximes - Ier s. av. J.-C.

Heureux qui de sa vie a vu trancher le cours sans avoir de la mort invoqué le secours.

Publilius Syrus - Les sentences et maximes - Ier s. av. J.-C.

À plaire au plus grand nombre il ne faut pas tâcher, c'est l'éloge des bons que l'on doit rechercher.

Publilius Syrus - Les sentences et maximes - Ier s. av. J.-C.

Quel mal, si grand qu'il soit, ou quelle affliction, ne trouvent quelque part leur compensation ?

Publilius Syrus - Les sentences et maximes - Ier s. av. J.-C.

Rien ne peut se faire avec précaution et promptitude tout à la fois.

Publilius Syrus - Les sentences et maximes - Ier s. av. J.-C.

L'humble toit où jamais l'encens pur n'a brûlé offre aux dieux la farine et le gâteau salé.

Publilius Syrus - Les sentences et maximes - Ier s. av. J.-C.

S'il faut du même coup qu'un innocent périsse, mieux vaut qu'un criminel échappe à la justice.

Publilius Syrus - Les sentences et maximes - Ier s. av. J.-C.

La fortune nous prend ou nous abandonne, et rien n'est moins à nous que ce qu'elle nous donne.

Publilius Syrus - Les sentences et maximes - Ier s. av. J.-C.

À quoi bon la fortune et son apanage, si l'on est hors d'état d'en pouvoir faire usage ?

Publilius Syrus - Les sentences et maximes - Ier s. av. J.-C.

Qui dans le mal s'est instruit à plaisir est toujours, dès qu'il peut, prêt à s'en souvenir.

Publilius Syrus - Les sentences et maximes - Ier s. av. J.-C.

Il nous faut tous, si haut que nous portions la tête, partir d'en bas pour arriver au faîte.

Publilius Syrus - Les sentences et maximes - Ier s. av. J.-C.

La fortune, par nous un instant courtisée, malgré tous ses atours est bientôt méprisée.

Publilius Syrus - Les sentences et maximes - Ier s. av. J.-C.

L'esclavage est le plus grand de tous les maux.

Publilius Syrus - Les sentences et maximes - Ier s. av. J.-C.

Roi, sujet, riche ou pauvre, et faible comme fort, tout ce qui naît et vit doit tribut à la mort.

Publilius Syrus - Les sentences et maximes - Ier s. av. J.-C.

Si le mal de la mort était compté pour rien, la mort, en vérité, serait un trop grand bien.

Publilius Syrus - Les sentences et maximes - Ier s. av. J.-C.