Les proverbes du monde sur le bétail

Avec les prairies on nourrit le bétail, le bétail donne du fumier, le fumier donne du blé.

Changement de pâturage engraisse le bétail.

Le bétail et le fourrage à celui qui a du bonheur ; celui qui n'en a point, n'a pas même de la paille.

Les pauvres ont les enfants ; les riches, les bestiaux.

Ne laisse approcher de tes plants, aucun bétail petit ou grand.

L'avoine, quand elle prend graine, pour ton bétail est une aubaine.

Jamais de bétail sans prairie, ou ton travail est duperie.

Qui veut en bétail progresser, par ses prés devra commencer.

Bétail, que le maître ne voit, est plus altéré qu'il ne boit.

L'œil du maître au bétail procure, graisse avec peu de nourriture.

Qu'au marché bétail n'aille point, avant d'avoir de l'embonpoint.

Pour ton bétail en semant toujours assure, et sa litière et sa pâture.

Élève, c'est de la sagesse, du bétail de plus d'une espèce ; si l'un donne peu de profit, l'autre est d'un plus riche produit.

Bétail qui cesse d'être soigné, bientôt le maître est ruiné.

Bétail tenu dans le bien-être, grossit la bourse de son maître.

Bien entretenu le bétail, sera bientôt propre au travail.

Qui de bétail veut faire emplette, doit lui tenir pâture prête.

Après dur travail ne plains point, à tes bestiaux graine ni soin.

Traite ton bétail doucement, il sera doux, intelligent : mais je dis à qui le maltraite : n'espère pas de bonne bête.

À ton bétail, sers-lui peu, souvent et varie, il sera gras à faire envie.

À ton bétail ne donne pas, toutes les fois un gros repas.

Loin de l'étable le bétail l'envoyer, c'est vouloir fort peu de fumier.

Que le bétail ait à l'étable, le nécessaire et l'agréable.

Bétail nombreux, chance certaine, d'augmenter bientôt un domaine.

Quiconque exploite sans bétail, vit à peine de son travail.

Le bétail a toujours été, l'âme d'une propriété.

Sans bétail on ne fait rien qui vaille ; on n'a ni grain, ni foin, ni paille.