Jean-Louis-Auguste Commerson.

Les meilleures citations de Jean-Louis-Auguste Commerson :

Les femmes aiment mieux qu'on froisse leur robe que leur amour-propre.

Jean-Louis-Auguste Commerson - La petite encyclopédie bouffonne (1860)

Pour obtenir le droit de déshabiller certaines femmes, il faut d'abord faire les frais de leur toilette.

Jean-Louis-Auguste Commerson - La petite encyclopédie bouffonne (1860)

Il est plus facile de détacher son collet d'habit que son cœur.

Jean-Louis-Auguste Commerson - La petite encyclopédie bouffonne (1860)

Le cœur d'une honnête femme est un salon dans lequel il n'est permis de pénétrer qu'après avoir fait antichambre.

Jean-Louis-Auguste Commerson - La petite encyclopédie bouffonne (1860)

L'amour est un torrent qu'on arrête souvent en lui creusant un lit.

Jean-Louis-Auguste Commerson - La petite encyclopédie bouffonne (1860)

Un fils est un filou donné par la nature.

Jean-Louis-Auguste Commerson - La petite encyclopédie bouffonne (1860)

Dans le monde on parle souvent de la conscience, mais la conscience ne parle pas souvent.

Jean-Louis-Auguste Commerson - La petite encyclopédie bouffonne (1860)

Le plus beau point de vue, c'est un coup de poing sur l'œil.

Jean-Louis-Auguste Commerson - La petite encyclopédie bouffonne (1860)

La vérité est ce qu'une femme simule et dissimule le mieux.

Jean-Louis-Auguste Commerson - La petite encyclopédie bouffonne (1860)

Le joug des passions est un tapis qu'il ne faut pas secouer par la fenêtre.

Jean-Louis-Auguste Commerson - La petite encyclopédie bouffonne (1860)

Les remords sont les punaises de la conscience, ils la tiennent éveillée.

Jean-Louis-Auguste Commerson - La petite encyclopédie bouffonne (1860)

Le remords, c'est le tirebouchon avec lequel on arrache des aveux au coupable.

Jean-Louis-Auguste Commerson - La petite encyclopédie bouffonne (1860)

Si les moines sont gras, c'est qu'ils sont toujours à l'office.

Jean-Louis-Auguste Commerson - La petite encyclopédie bouffonne (1860)

La mort est le cul-de-sac de la vie.

Jean-Louis-Auguste Commerson - La petite encyclopédie bouffonne (1860)

La fortune est une paire de bottes dans laquelle il y a souvent beaucoup de foin.

Jean-Louis-Auguste Commerson - La petite encyclopédie bouffonne (1860)

Je n'aime pas plus l'avarice du cœur que la varice des jambes.

Jean-Louis-Auguste Commerson - La petite encyclopédie bouffonne (1860)

L'argent est un piédestal pour les petits.

Jean-Louis-Auguste Commerson - La petite encyclopédie bouffonne (1860)

J'aime mieux être parfumé que par fumée.

Jean-Louis-Auguste Commerson - La petite encyclopédie bouffonne (1860)

Les yeux sont des fenêtres dont les paupières sont les persiennes.

Jean-Louis-Auguste Commerson - La petite encyclopédie bouffonne (1860)

Une femme sans corset est un bastion démantelé.

Jean-Louis-Auguste Commerson - La petite encyclopédie bouffonne (1860)

L'âme d'une femme entre deux âges est une éponge desséchée au feu de l'abstinence.

Jean-Louis-Auguste Commerson - La petite encyclopédie bouffonne (1860)

Mon propriétaire m'aigrit et engraisse à vue d'œil.

Jean-Louis-Auguste Commerson - La petite encyclopédie bouffonne (1860)

Je n'aime pas la laideur mais j'aime la salade; et pourtant si la laideur repousse, la salade aussi.

Jean-Louis-Auguste Commerson - La petite encyclopédie bouffonne (1860)

La prudence est le parapluie qui garantit l'homme des averses du malheur.

Jean-Louis-Auguste Commerson - La petite encyclopédie bouffonne (1860)

La jalousie est un binocle à travers lequel nous voyons tout en jaune.

Jean-Louis-Auguste Commerson - La petite encyclopédie bouffonne (1860)

Pour les femmes qui se marient avec de vieux hommes riches, le mariage est un omnibus dans lequel, à peine assises, elles voudraient une correspondance pour l'allée des Veuves.

Jean-Louis-Auguste Commerson - La petite encyclopédie bouffonne (1860)

Le cœur d'une coquette est une corde à puits, où les seaux restent suspendus jusqu'à ce qu'ils soient enfoncés.

Jean-Louis-Auguste Commerson - La petite encyclopédie bouffonne (1860)

Dormir, c'est faire antichambre dans le palais de la Mort.

Jean-Louis-Auguste Commerson - La petite encyclopédie bouffonne (1860)

D'un chapeau neuf, j'aime mieux m'en parer que m'emparer du chapeau d'autrui.

Jean-Louis-Auguste Commerson - La petite encyclopédie bouffonne (1860)

Se confesser, c'est balayer son âme.

Jean-Louis-Auguste Commerson - La petite encyclopédie bouffonne (1860)

La perversité est la paire de sabots qui aide à marcher dans le chemin du crime.

Jean-Louis-Auguste Commerson - La petite encyclopédie bouffonne (1860)

La vie est une barque dont l'homme est le rameur.

Jean-Louis-Auguste Commerson - La petite encyclopédie bouffonne (1860)

Un bossu est, à mon sens, un chameau dégénéré.

Jean-Louis-Auguste Commerson - La petite encyclopédie bouffonne (1860)

La vertu est un colifichet dont une femme aime à se parer.

Jean-Louis-Auguste Commerson - La petite encyclopédie bouffonne (1860)

Un patron est un cauchemar donné par le besoin.

Jean-Louis-Auguste Commerson - La petite encyclopédie bouffonne (1860)

Je me défie toujours des femmes qui portent des caleçons : c'est la pudeur avec une enseigne.

Jean-Louis-Auguste Commerson - La petite encyclopédie bouffonne (1860)

L'ignorance est l'inanition de l'esprit.

Jean-Louis-Auguste Commerson - La petite encyclopédie bouffonne (1860)

Le mariage, c'est de l'ennui à deux.

Jean-Louis-Auguste Commerson - La petite encyclopédie bouffonne (1860)

La dot est la raison du mariage, l'amour en est le prétexte.

Jean-Louis-Auguste Commerson - La petite encyclopédie bouffonne (1860)

Je fais plus usage du thé au rhum que du théorème.

Jean-Louis-Auguste Commerson - La petite encyclopédie bouffonne (1860)

Autre rubrique à découvrir :